ACTU
Retail US : une légère embellie
par Nicaulas,
email @nicaulasfactor
C'est une petite surprise. A en croire le cabinet Cowen & Company, les chiffres de ventes de jeux consoles retail aux Etats-Unis que publiera NPD dans les prochains jours seront très bons, avec une croissance de 21% (18% si on ajoute les consoles et les jeux PC). Les ventes retail n'avaient pas connu de croissance à deux chiffres outre-Atlantique depuis avril 2011, et 2013 devrait être la première année de croissance des ventes depuis 2008.
Un coup de boost qui s'expliquerait par le démarrage en trombe de Madden NFL 25 (plus d'un million d'exemplaires sur sa première semaine), mais aussi de Saints Row IV, Disney Infinity, Splinter Cell Blacklist et, plus étonnant, Pikmin 3. Auxquels s'ajouteront Grand Theft Auto V et Battlefield 4 d'ici la fin de l'année. Cela reste néanmoins surprenant au vu de la tendance globale de ces dernières années, et alors qu'on s'attendait à voir la baisse s'accentuer avec une conjoncture économique encore fragile et certains joueurs se réservant pour la PS4 et la XBox One.
Cette augmentation est d'autant plus surprenante qu'il est généralement admis que la baisse des ventes retail est autant, voire plus, liée à l'essor du dématérialisé qu'à la conjoncture économique et la fluctuation du pouvoir d'achat des ménages. Mais pour en être sûr, il faudra attendre que quelqu'un mette un peu de transparence dans cette forteresse d'opacité qu'est le dématérialisé.
Un coup de boost qui s'expliquerait par le démarrage en trombe de Madden NFL 25 (plus d'un million d'exemplaires sur sa première semaine), mais aussi de Saints Row IV, Disney Infinity, Splinter Cell Blacklist et, plus étonnant, Pikmin 3. Auxquels s'ajouteront Grand Theft Auto V et Battlefield 4 d'ici la fin de l'année. Cela reste néanmoins surprenant au vu de la tendance globale de ces dernières années, et alors qu'on s'attendait à voir la baisse s'accentuer avec une conjoncture économique encore fragile et certains joueurs se réservant pour la PS4 et la XBox One.
Cette augmentation est d'autant plus surprenante qu'il est généralement admis que la baisse des ventes retail est autant, voire plus, liée à l'essor du dématérialisé qu'à la conjoncture économique et la fluctuation du pouvoir d'achat des ménages. Mais pour en être sûr, il faudra attendre que quelqu'un mette un peu de transparence dans cette forteresse d'opacité qu'est le dématérialisé.