ACTU
Remedy donne des nouvelles
par CBL,
email @CBL_Factor
À l'occasion du Capital Markets Day 2024, Remedy a parlé de ses jeux. On a appris plein de belles choses :
Remedy reste un cas à part dans l'industrie. Avec 365 employés, il fait partie des gros studios mais demeure indépendant. Vu qu'ils autopublient ou co-publient leurs jeux, qu'ils détiennent leurs licences (sauf pour Max Payne) et qu'ils développent leur propre moteur, ils sont entièrement maîtres de leur destin et peuvent bâtir le futur.
L'objectif annoncé est la transformation de leurs titres en licences massives via des spin-offs comme Firebreak ou des adaptations dans d'autres médias. Remedy n'a par contre aucune envie de faire des jeux pour mobile et/ou pour casu. Le tout nécessite de prendre des risques comme un prêt de Tencent ou perdre pas mal de thunes sur le développement d'Alan Wake 2, le jeu étant très loin d'être rentable pour l'instant.
Remedy estime que le seuil de rentabilité pour un de ses AAA se situe entre 3 et 4 millions d'exemplaires vendus. Le studio peut se permettre de perdre du pognon sur un jeu car ils ont un joli trésor de guerre sous la forme d'une réserve de cash. Mais surtout ce n'est pas une perte définitive. Control par exemple continue de se bien vendre cinq ans après sa sortie. Alan Wake 2 n'est pas encore sorti sur Steam, vient à peine de sortir en boîte et constitue un investissement sur le long terme. Le jeu enrichit le Remedy Connected Universe en y ajoutant des éléments et en agrandissant la base de fans.
- Alan Wake 2 s'est vendu à 1,8 million d'exemplaires
- Control recevra une mise à jour courant 2025 qui débloquera du contenu précédemment sorti (de manière payante ?)
- Control sortira sur Mac Apple Silicon le 12 février. Les possesseurs de Mac à base de puces M3/M4 pourront profiter du MetalFX upscaling et du ray-tracing
- Control 2 sera un action-RPG. A l'époque où n'importe quel jeu a un système de progression (y compris le premier Control), on ne sait plus trop ce que ça veut dire
Remedy reste un cas à part dans l'industrie. Avec 365 employés, il fait partie des gros studios mais demeure indépendant. Vu qu'ils autopublient ou co-publient leurs jeux, qu'ils détiennent leurs licences (sauf pour Max Payne) et qu'ils développent leur propre moteur, ils sont entièrement maîtres de leur destin et peuvent bâtir le futur.
L'objectif annoncé est la transformation de leurs titres en licences massives via des spin-offs comme Firebreak ou des adaptations dans d'autres médias. Remedy n'a par contre aucune envie de faire des jeux pour mobile et/ou pour casu. Le tout nécessite de prendre des risques comme un prêt de Tencent ou perdre pas mal de thunes sur le développement d'Alan Wake 2, le jeu étant très loin d'être rentable pour l'instant.
Remedy estime que le seuil de rentabilité pour un de ses AAA se situe entre 3 et 4 millions d'exemplaires vendus. Le studio peut se permettre de perdre du pognon sur un jeu car ils ont un joli trésor de guerre sous la forme d'une réserve de cash. Mais surtout ce n'est pas une perte définitive. Control par exemple continue de se bien vendre cinq ans après sa sortie. Alan Wake 2 n'est pas encore sorti sur Steam, vient à peine de sortir en boîte et constitue un investissement sur le long terme. Le jeu enrichit le Remedy Connected Universe en y ajoutant des éléments et en agrandissant la base de fans.