ACTU
Quantic Dream : Au revoir Sony
Salut Factor. C'est votre fournisseur d'émotions favori, D. Cage. On a bossé avec Sony pour les trois dernières créations de mon studio, Quantic Dream. Le partenariat a été plutôt juteux pour les deux parties. Notre dernière création, Detroit: Become Human, s'est vendu à trois millions d'exemplaires sur PS4.
Mais les temps ont changé. Le niveau des océans monte. On ne peut même plus faire des photomontages graveleux. Et surtout ces salauds de Netflix ont piqué mon idée de film intéractif! Et leur contenu est disponible partout! Du coup il est temps pour Quantic Dream de proposer des expériences interactives tournant sur un plus grand nombre de plateformes. Mon génie scénaristique mérite d'être partagé avec le monde entier.
Notre moteur next-gen sera donc multi-plateforme tout comme nos futures productions. Le problème est que tout ceci coûte des sous. On a donc vendu des parts à NetEase, les chinois qui ont investi dans Bungie. On ne vous dira pas combien on a touché et à quelles conditions. Simon Zhu, le General Manager for Investment and Strategy de NetEase a précisé qu'ils n'ont rien vu de ce que la presse décrit après avoir passé du temps avec mon équipe. En privé, il a ajouté qu'en Chine, ce genre de choses n'arriverait jamais : les journalistes seraient en prison avant d'avoir eu le temps de publier leur article.
Mais les temps ont changé. Le niveau des océans monte. On ne peut même plus faire des photomontages graveleux. Et surtout ces salauds de Netflix ont piqué mon idée de film intéractif! Et leur contenu est disponible partout! Du coup il est temps pour Quantic Dream de proposer des expériences interactives tournant sur un plus grand nombre de plateformes. Mon génie scénaristique mérite d'être partagé avec le monde entier.
Notre moteur next-gen sera donc multi-plateforme tout comme nos futures productions. Le problème est que tout ceci coûte des sous. On a donc vendu des parts à NetEase, les chinois qui ont investi dans Bungie. On ne vous dira pas combien on a touché et à quelles conditions. Simon Zhu, le General Manager for Investment and Strategy de NetEase a précisé qu'ils n'ont rien vu de ce que la presse décrit après avoir passé du temps avec mon équipe. En privé, il a ajouté qu'en Chine, ce genre de choses n'arriverait jamais : les journalistes seraient en prison avant d'avoir eu le temps de publier leur article.