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[Preview] Chronicles of Riddick

toof par toof,  email
Riddick est un taulard. Une ordure de première, sans pitié ni scrupule. Incarné par le colossal Vin Diesel, il est le personnage clé d'un univers : tout d'abord de Pitch Black, sorti en 2000, mais maintenant du film Les chroniques de Riddick, à sortir cet été au cinéma en France. Pour en accompagner la sortie, Vivendi Universal Games nous prépare un jeu : The chronicles of Riddick : Espace from Butcher Bay.
Ce point commun entre une licence de film et un jeu vidéo n'ayant jamais été de bonne augure, il semblerait que cette fois l'adaptation se présente sous les meilleures auspices.

Chronologiquement, Espace from Butcher Bay se situe tout au début des aventures de Riddick : avant Pitch Black, lui même avant Les Chronicles de Riddick. Le titre du jeu est donc trompeur : les évenements racontent le commencement et se passent donc bien en prélude aux deux films.
The Chronicles of Riddick : Espace from Butcher Bay (EFBB) est un FPS d'un genre particulier. Développé par Starbreeze, qui a auparavant pondu le très beau mais très moyen Enclave sur PC est Xbox, revient une fois de plus avec un jeu à la réalisation exemplaire. Eclairages dynamiques, bump mapping à foison, les graphistes s'en sont donné à coeur joie et n'ont pas à rougir face à ce qu'on pourra voir dans Doom 3. Les couloirs de Butcher Bay, une prison de haute sécurité pour truants et autres criminels de haut vol, sont d'un glauque sans égal : c'est sale, sombre, délabré, bref c'est parfait pour l'immersion totale dans cet univers carcéral.

Là où EFBB se détachera du style des autres FPS, c'est au niveau des combats. Bien que présentant une partie "classique", apparemment plutôt réussie, à base de shotgun, mitrailleuse et autres armes de point, c'est au combat au corps à corps que le jeu se démarquera. Reprenant un peu le concept de Breakdown, Riddick se donne aussi la classe d'être réussi. Les combats à mains nues se réveleront grisant et jubilatoire, tant la violence des coups portés est grande. De plus, il sera possible de s'approcher des gardes par derrière afin de leur briser la nuque ou leur trancher la gorge pour peu qu'on soit équipé d'un outil tranchant : couteau, scalpel, bout de verre, tournevis. Tous ces objets seront à récolter, voler ou acheter à l'insu des gardes dans l'enceinte de la prison, dans laquelle on pourra plus ou moins se balader, allant chercher des missions, renseignements, etc auprès de certains prisonniers, voire même tenter à plusieurs reprises de s'échapper. Mais si l'approche fourbe ne vous tente pas trop, il sera toujours possible d'attaquer les gardes de front et de tenter de retourner leur arme contre eux, le tout se finissant en cas de succès par une gerbe de sang contre un mur.

Pour agrémenter tout ça, il sera possible d'utiliser à de nombreuses reprises le pouvoir plutôt atypique de Riddick : voir dans l'obscurité totale. Si on combat se révèle périlleux contre un nombre important d'adversaires, il suffira de faire disparaître toute source lumineuse et de régler leur compte aux gardes les uns après les autres, dans une ambiance joyeuse baignée de peur et d'affolement.

EFBB se présente donc comme un soft original malgré la représentation FPS des plus classique, accompagné d'un design soigné et d'un univers ayant fait ses preuves au cinéma. Affaire à suivre quelque part vers la fin du mois d'août, sur Xbox.




 

Commentaires

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zaibatsu
 
Question : Est-ce que tu as déjà parlé à un psychologue de ton addiction chelou à ce truc alors que tu kiffes les performances graphiques toutafon d'un cyberpunk à 120 fps ?

Pas que je m'inquiète, sûrement le goût du voyage, de l'introspection, de la musique country ou de la belle mécanique mais, sait-on jamais... pour la science.
Zaza le Nounours
 
Pour répondre à ta question : non, principalement parce que le jour où j'irai raconter ma vie de merde à un mec (ou une meuf) payé pour le faire en faisant des petits "mh-mh, mh-mh" pendant une heure n'est pas encore arrivé.

Mais sinon, tu n'as jamais remarqué que les humains peuvent être des êtres complexes, capables d'apprécier des choses a priori radicalement différentes ? On peut tout à fait être une petite pute graphique, mais aussi apprécier un truc techniquement à la rue et pouvant être perçu comme chiant comme la mort qui ne va pas exiger grand chose de nous, mais qui nous offre quelques heures de détente pendant lesquelles on peut s'écouter un peu de musique ou rattraper des podcasts en retard.
zaibatsu
 
Chier sur les psys comme ça, c'est pas tout à fait à ton honneur. Cependant "podcasts en retard." = meilleur réponse.
Moi je fais une heure de vélo le soir en faisant pareil. Je te capte mon frère humain complexe, j'ai même écouté un podcast sur le raytracing temps réel une fois en reliant Paris à Noisy le sec, c'est dire à quel point je suis intense dans la symbiose.

Va en paix sur les routes sinueuses du Dakota à bord de ton fier engin rutilant, je ne jugerai plus.
Pim_pam_pet
 
zaibatsu a écrit :
je ne jugerai plus.


zaibatsu a écrit :
Chier sur les psys comme ça, c'est pas tout à fait à ton honneur. Cependant "podcasts en retard." = meilleur réponse.


Je ne juge pas voyons, je remets juste en question la légitimité de ce que tu penses. Et comme je suis un bon gars je t'informe de la perception que j'ai de tes comportements afin de les valider ou de les invalider.

Non, ne me remercie pas, je suis de nature altruiste, c'est comme ça.
zaibatsu
 
Pim_pam_pet
 
Ah oui, posture de l'ancien. :)
Prévisible, mais ça a le mérite d'être drôle.
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