ACTU
Les anniversaires du jour
On aime bien parfois newser sur les jeux un peu marquants qui fêtent des anniversaires symboliques, ça meuble le site quand il n'y a pas trop d'actu et ça nous rappelle le passage inexorable du temps qui nous rapproche chaque jour un peu plus de la douce délivrance de la mort. Par exemple, saviez-vous (oui, vous le savez sûrement si vous avez traîné sur les réseaux sociaux au cours de la journée) que l'on fêtait aujourd'hui les dix ans de Deus Ex Human Revolution, excellent reboot par Eidos Montréal d'une série initiée en 2000 par le titre légendaire de Ion Storm ? Ca ne nous rajeunit pas, hein. Et à quelques jours près, on fête aussi les cinq ans de sa suite, Mankind Divided, au moins aussi bon même s'il donne l'impression de s'arrêter en plein milieu de l'histoire. Dommage qu'on n'en connaitra probablement jamais le dénouement, tout le monde chez Eidos Montréal ayant fini dans une cave, enchainés à leur bureau pour bosser sur le déjà-mort-mais-il-ne-le-sait-pas-encore Marvel's Avengers. Une bien triste histoire.
Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin et sortons le mousseux pour les vingt ans du premier Devil May Cry, en tout cas sur sa terre natale du Japon. Et oui, ça pique un peu. Je dirais bien que certains d'entre vous n'étaient peut-être même pas nés à l'époque, mais je ne suis pas assez naïf pour croire que notre lectorat se compose d'autre chose que de vieux quadras aigris par la vie. Le jeu de Capcom, qui devait être à la base le quatrième épisode de Resident Evil (on se retrouve dans quatre ans pour les vingt ans de RE4, chef-d'oeuvre intemporel auquel bien des jeux sortis depuis quinze ans doivent tout ou presque), aura été une des premières vraies killer apps de la PlayStation 2, qui montrait enfin ce que la console avait dans le bide après des premiers mois assez tristes, avec une réalisation à tomber par terre et des combats dont l'intensité ne faiblissait jamais. Contrairement à Deus Ex, DMC se porte plutôt bien puisqu'il a accueilli un cinquième épisode il y a deux ans, qui certes n'invente plus rien, mais prouve néanmoins que la série n'a rien perdu de sa superbe.
Mais ne nous arrêtons pas en si bon chemin et sortons le mousseux pour les vingt ans du premier Devil May Cry, en tout cas sur sa terre natale du Japon. Et oui, ça pique un peu. Je dirais bien que certains d'entre vous n'étaient peut-être même pas nés à l'époque, mais je ne suis pas assez naïf pour croire que notre lectorat se compose d'autre chose que de vieux quadras aigris par la vie. Le jeu de Capcom, qui devait être à la base le quatrième épisode de Resident Evil (on se retrouve dans quatre ans pour les vingt ans de RE4, chef-d'oeuvre intemporel auquel bien des jeux sortis depuis quinze ans doivent tout ou presque), aura été une des premières vraies killer apps de la PlayStation 2, qui montrait enfin ce que la console avait dans le bide après des premiers mois assez tristes, avec une réalisation à tomber par terre et des combats dont l'intensité ne faiblissait jamais. Contrairement à Deus Ex, DMC se porte plutôt bien puisqu'il a accueilli un cinquième épisode il y a deux ans, qui certes n'invente plus rien, mais prouve néanmoins que la série n'a rien perdu de sa superbe.