ACTU
[Hors-Sujet] Le Jeu Vidéo
"L'aut' eh, un hors-sujet sur le jeu vidéo sur un site de jeu vidéo. Je crois que cette fois, on l'a perdu, les gars." Je vous entends d'ici. Mais figurez-vous que Le Jeu Vidéo, c'est aussi le recueil de strips tirés du blog de Bastien Vivès (plus un paquet d'inédits), jeune auteur français ayant déjà quelques publications à son actif.
Pour ce nouvel album, il a décidé de s'offrir une petite récré et nous livre donc de courtes histoires centrées sur le thème du JV. On sent tout de suite que le bonhomme est un vrai joueur, qu'il a dosé Street Fighter plus que de raison, qu'il a participé à plus d'une LAN et qu'il a passé des heures sur sa MegaDrive étant enfant : même si tout n'est pas à pleurer de rire, chaque petite histoire est toujours drôle mais sonne surtout juste, comme seul pourrait en être capable un joueur de longue date.
Le dessin est très stylisé, tout en noir et blanc, et on ne peut pas dire qu'il y a vraiment beaucoup de mouvement d'une planche à l'autre, ni même beaucoup de détails. Mais à vrai dire on ne s'y attarde pas trop car ce sont bien les dialogues qui importent ici.
Le seul reproche que l'on pourrait adresser à ce petit album, c'est d'être finalement très ciblé et destiné uniquement aux joueurs : les ignorants et autres casual gamers ne sauront pas relever les nombreuses vannes d'initiés. Pour les autres, c'est une lecture qui se dévore le temps d'une (longue) pause caca et qui vous fera dire "uhuh mais c'est trop ça" en gloussant bêtement.
Pour ce nouvel album, il a décidé de s'offrir une petite récré et nous livre donc de courtes histoires centrées sur le thème du JV. On sent tout de suite que le bonhomme est un vrai joueur, qu'il a dosé Street Fighter plus que de raison, qu'il a participé à plus d'une LAN et qu'il a passé des heures sur sa MegaDrive étant enfant : même si tout n'est pas à pleurer de rire, chaque petite histoire est toujours drôle mais sonne surtout juste, comme seul pourrait en être capable un joueur de longue date.
Le dessin est très stylisé, tout en noir et blanc, et on ne peut pas dire qu'il y a vraiment beaucoup de mouvement d'une planche à l'autre, ni même beaucoup de détails. Mais à vrai dire on ne s'y attarde pas trop car ce sont bien les dialogues qui importent ici.
Le seul reproche que l'on pourrait adresser à ce petit album, c'est d'être finalement très ciblé et destiné uniquement aux joueurs : les ignorants et autres casual gamers ne sauront pas relever les nombreuses vannes d'initiés. Pour les autres, c'est une lecture qui se dévore le temps d'une (longue) pause caca et qui vous fera dire "uhuh mais c'est trop ça" en gloussant bêtement.