ACTU
GC : Trackmania vénère une DS
par CBL,
email @CBL_Factor
Qu'est ce qu'il y a de plus cool que Trackmania ? La possibilité de jouer à Trackmania n'importe où. On en a rêvé et ça s'est concrétisé avec l'annonce de Trackmania DS. Les premières vidéo donnaient déjà sacrément envie. Aujourd'hui on a pu tester une version finale. Comme à l'époque de 4D Sports Driving, j'ai envie de dire : "Fasten your seatbelt !".
Remontons le temps. Firebrand, un développeur spécialisé dans la DS, avait produit Race Driver : GRID pour Codemasters qui comportait déjà un éditeur de circuits. Ce sont des amoureux de Trackmania et ils ont fait la démarche d'aller vers Focus en expliquant "on pense qu'on peut faire Trackmania DS". Focus s'est lancé dans l'aventure avec l'accord de Nadeo. Firebrand a produit une première version ainsi que 100 circuits. Elle était bien mais pas assez "Trackmaniesque". Nadeo est repassé derrière pour peaufiner tous les réglages de gameplay afin de rendre le jeu vraiment cool. Encore plus cool : ils ont demandé aux 6 meilleurs créateurs de circuits des versions PC de refaire la majeure partie des circuits.
La partie technique est le premier truc qui étonne une fois la console en mains. Le jeu est magnifique, ça va à toute allure et il n'y a pas le moindre clipping (tout le circuit doit être chargé en ram). L'éditeur fonctionne exactement de la même manière que sur PC : on crée son circuit puis, en un clic, la caméra se place sur la ligne de départ et on teste. Encore mieux : le jeu enregistre l'intégralité de la course (pour les ghosts) et on peut regarder le replay par la suite. C'est franchement bluffant vu les caractéristiques de la DS. Au-delà de la partie technique, le simple fait de retrouver le gameplay de Trackmania sur DS est un vrai bonheur. Les voitures répondent au doigt et à l'oeil et le jeu conserve sa conduite si particulière. A sert à accélérer, B à freiner, Y à se replacer sur la ligne de départ, X à revenir au dernier checkpoint et select permet de changer de caméra (éloignée, proche, vue interne).
Comme si ce n'était déjà pas suffisant, la cartouche est gavée ras la gueule de bonnes choses issues des versions PC. On retrouve les courses, le mode plate-forme, le mode puzzle, trois environnements (Stadium, Desert et Rally), trois ambiances (sunrise, day, sunset) trois modes multi (simple cartouche, multi cartouche, hotseat), la possibilité de partager ses circuits et surtout l'éditeur. Le jeu reprend le principe du premier Trackmania à savoir qu'il faut acheter les blocs (les mêmes que sur PC : loopings, speeders, trous...) avec les coppers gagnés dans le mode solo pour pouvoir les utiliser dans l'éditeur. Ce dernier est un modèle d'érgonomie où tout se fait au stylet. Un petit slider permet de zoomer, on peut orienter la caméra comme on veut en laissant appuyer sur L et on peut placer les blocs soit en faisant du drag'n drop soit en dessinant directement sur le terrain. Des boutons apparaissent quand on sélectionne un bloc pour changer l'altitude ou l'orientation.
Les icônes permettant de sélectionner les différents types de blocs (lignes droites, virages relevés...) ne sont pas forcément intuitifs au départ mais on prend rapidement le coup de main. Outre la gomme, des boutons refaire/défaire permettent de corriger ses bétises. Chaque circuit ne peut avoir qu'un nombre limité de blocs. Une barre sur l'écran du haut indique combien de place il reste pour le circuit en cours mais il faut vraiment y aller pour la remplir à fond. Tous les circuits du jeu ont été créés avec cet éditeur et ils ont l'air bien allumé. Je n'ai pas grand chose de plus à ajouter. On attendra de pouvoir y jouer bien plus longtemps pour donner un avis définitif mais le jeu promet d'être une sacrée bombe.
Remontons le temps. Firebrand, un développeur spécialisé dans la DS, avait produit Race Driver : GRID pour Codemasters qui comportait déjà un éditeur de circuits. Ce sont des amoureux de Trackmania et ils ont fait la démarche d'aller vers Focus en expliquant "on pense qu'on peut faire Trackmania DS". Focus s'est lancé dans l'aventure avec l'accord de Nadeo. Firebrand a produit une première version ainsi que 100 circuits. Elle était bien mais pas assez "Trackmaniesque". Nadeo est repassé derrière pour peaufiner tous les réglages de gameplay afin de rendre le jeu vraiment cool. Encore plus cool : ils ont demandé aux 6 meilleurs créateurs de circuits des versions PC de refaire la majeure partie des circuits.
La partie technique est le premier truc qui étonne une fois la console en mains. Le jeu est magnifique, ça va à toute allure et il n'y a pas le moindre clipping (tout le circuit doit être chargé en ram). L'éditeur fonctionne exactement de la même manière que sur PC : on crée son circuit puis, en un clic, la caméra se place sur la ligne de départ et on teste. Encore mieux : le jeu enregistre l'intégralité de la course (pour les ghosts) et on peut regarder le replay par la suite. C'est franchement bluffant vu les caractéristiques de la DS. Au-delà de la partie technique, le simple fait de retrouver le gameplay de Trackmania sur DS est un vrai bonheur. Les voitures répondent au doigt et à l'oeil et le jeu conserve sa conduite si particulière. A sert à accélérer, B à freiner, Y à se replacer sur la ligne de départ, X à revenir au dernier checkpoint et select permet de changer de caméra (éloignée, proche, vue interne).
Comme si ce n'était déjà pas suffisant, la cartouche est gavée ras la gueule de bonnes choses issues des versions PC. On retrouve les courses, le mode plate-forme, le mode puzzle, trois environnements (Stadium, Desert et Rally), trois ambiances (sunrise, day, sunset) trois modes multi (simple cartouche, multi cartouche, hotseat), la possibilité de partager ses circuits et surtout l'éditeur. Le jeu reprend le principe du premier Trackmania à savoir qu'il faut acheter les blocs (les mêmes que sur PC : loopings, speeders, trous...) avec les coppers gagnés dans le mode solo pour pouvoir les utiliser dans l'éditeur. Ce dernier est un modèle d'érgonomie où tout se fait au stylet. Un petit slider permet de zoomer, on peut orienter la caméra comme on veut en laissant appuyer sur L et on peut placer les blocs soit en faisant du drag'n drop soit en dessinant directement sur le terrain. Des boutons apparaissent quand on sélectionne un bloc pour changer l'altitude ou l'orientation.
Les icônes permettant de sélectionner les différents types de blocs (lignes droites, virages relevés...) ne sont pas forcément intuitifs au départ mais on prend rapidement le coup de main. Outre la gomme, des boutons refaire/défaire permettent de corriger ses bétises. Chaque circuit ne peut avoir qu'un nombre limité de blocs. Une barre sur l'écran du haut indique combien de place il reste pour le circuit en cours mais il faut vraiment y aller pour la remplir à fond. Tous les circuits du jeu ont été créés avec cet éditeur et ils ont l'air bien allumé. Je n'ai pas grand chose de plus à ajouter. On attendra de pouvoir y jouer bien plus longtemps pour donner un avis définitif mais le jeu promet d'être une sacrée bombe.