ACTU
GC : Premiers tours de piste sur NFS Undercover
Nous avons eu droit à une courte présentation du nouveau NFS, intitulé cette année Need for Speed Undercover, et nous avons même pu poser nos doigts gras pleins de sauerkraut sur une version démo. Le jeu prend place dans la ville de Tri-City, découpée en quatre zones : le centre assez chic, la banlieue un peu plus populaire, la zone industrielle et le canyon, vide de toute population. On y jouera un flic infiltré dans le monde des courses de rues et qui aura pour seul contact chez les flics le personnage incarné par Maggie Q. Ça ne vole toujours pas très haut, mais bon, pour un jeu de course, on peut se permettre d'avoir un scénario bas du front.
L'un des aspects mis en avant dans ce Need for Speed Undercover est le Road Driving Engine, qui est censé être un moteur de conduite très poussé et très réaliste. On appréciera aussi la présence de dégâts sur les voitures qui vont un peu plus loin que les simples rayures et vitres félées de Most Wanted, sans toutefois atteindre le degré de destruction d'un GRID.
On pourra aussi noter que les courses sont scénarisées : ainsi, un des exemples qui nous a été donné était de voler une Porsche chez un concessionnaire et de la ramener dans le garage de son chef. Ce qui a bien évidemment pour conséquence de vous coller tous les flics du coin aux fesses. Après l'incident de parcours ProStreet, les flics sont effectivement de retour, et on espère que les grandes poursuites avec une dizaine de bagnoles aux fesses et un hélico seront de retour.
Au rayon des nouveaux styles de course on trouve le Highway battle, une sorte de jeu de chat et de la souris où l'on se tire la bourre avec un unique adversaire en plein milieu d'un trafic assez dense, en faisant tout pour arriver premier au final. Vous cherchez ce qu'il y a vraiment de nouveau là-dedans ? Moi aussi.
C'est d'ailleurs un des gros problèmes de ce Need for Speed Undercover : on se retrouve avec une copie Carbon (ah ah !) de Most Wanted. Ce qui n'est pas une mauvaise chose en soi, puisque les deux épisodes qui ont suivi se sont révélés plutôt médiocres. Cependant on cherche encore les vraies nouveautés.
Pad en main, le jeu n'est pas désagréable à jouer, la sensation de vitesse est bonne, la conduite parait peut-être un peu plus souple mais en gros tout reste une fois de plus inchangé. On espère en revanche que les bugs graphiques, le clipping de folie, l'aliasing qui pique et les ralentissements à outrance auront été gommés dans la version finale, qui sortira donc le 21 novembre chez nous.
L'un des aspects mis en avant dans ce Need for Speed Undercover est le Road Driving Engine, qui est censé être un moteur de conduite très poussé et très réaliste. On appréciera aussi la présence de dégâts sur les voitures qui vont un peu plus loin que les simples rayures et vitres félées de Most Wanted, sans toutefois atteindre le degré de destruction d'un GRID.
On pourra aussi noter que les courses sont scénarisées : ainsi, un des exemples qui nous a été donné était de voler une Porsche chez un concessionnaire et de la ramener dans le garage de son chef. Ce qui a bien évidemment pour conséquence de vous coller tous les flics du coin aux fesses. Après l'incident de parcours ProStreet, les flics sont effectivement de retour, et on espère que les grandes poursuites avec une dizaine de bagnoles aux fesses et un hélico seront de retour.
Au rayon des nouveaux styles de course on trouve le Highway battle, une sorte de jeu de chat et de la souris où l'on se tire la bourre avec un unique adversaire en plein milieu d'un trafic assez dense, en faisant tout pour arriver premier au final. Vous cherchez ce qu'il y a vraiment de nouveau là-dedans ? Moi aussi.
C'est d'ailleurs un des gros problèmes de ce Need for Speed Undercover : on se retrouve avec une copie Carbon (ah ah !) de Most Wanted. Ce qui n'est pas une mauvaise chose en soi, puisque les deux épisodes qui ont suivi se sont révélés plutôt médiocres. Cependant on cherche encore les vraies nouveautés.
Pad en main, le jeu n'est pas désagréable à jouer, la sensation de vitesse est bonne, la conduite parait peut-être un peu plus souple mais en gros tout reste une fois de plus inchangé. On espère en revanche que les bugs graphiques, le clipping de folie, l'aliasing qui pique et les ralentissements à outrance auront été gommés dans la version finale, qui sortira donc le 21 novembre chez nous.