ACTU
GC : Impressions : Diablo III
par ClémentXVII,
email @ClementXVII
Cette année encore, Diablo 3 était présent à la GamesCom en version jouable dans le stand public.
Deux heures de file étaient nécessaires pour pouvoir y jouer, mais c'est fou ce qu'un badge de presse peut ouvrir comme portes de nos jours.
La session de jeu nous emmène dans un désert rempli de créatures à exterminer. Pour démarrer, on choisit le Witch Doctor, une partie en ligne et on y va. Ce personnage dispose d'une bonne palette de sorts à sa disposition, comme la possibilité d'invoquer un chien démoniaque ou quelques araignées. De plus, il est capable de terrifier ses ennemis et de leur lancer des projectiles de feu.
Premier constat, n'en déplaise aux équipes de Diablo 3 How it Should Be, on se trouve bel et bien devant un Diablo, pas un Torchlight. Désert oblige, la palette de couleurs tendait vers des couleurs sable, et les modèles et environnements sont semi-réalistes. Notre Witch Doctor est rapide et efficace, et rapidement, le sable fin vire au rouge sous les litres de sang chaud versés par nos ennemis. La première mission nous demande de rejoindre la ville d'à côté, en suivant le chemin à travers les dunes. On aurait pu le faire, mais c'est bien connu qu'il y a bien plus de gibier à hacker et à slasher dans les chemins détournés que dans les villes. Notre équipe décide donc d'exterminer toutes les engeances des enfers que nous rencontrons dans les recoins de la carte. La mini-carte se dévoile au fur et à mesure de notre exploration, et des indicateurs témoignent où se trouvent nos coéquipiers.
La prise en main est immédiate : les mouvements sont fluides, et on se met rapidement à élaborer des stratégies face aux multiples ennemis que nous rencontrons : on lance quelques boules de feu, on leur fait peur, puis on termine le boulot à l'arme blanche.
Peut-être que le niveau de difficulté a été adapté pour la présentation GamesCom, mais le niveau de mana et de santé se régénère automatiquement, ce qui fait que l'on n'était pratiquement jamais à court de mana. Par contre, la régénération est plus rapide quand on est « au repos » qu'en combat, donc vous aurez malgré tout besoin des potions indispensables à tout bon aventurier. Enfin, pendant toute la durée de jeu, mon personnage n'a utilisé que deux potions de soins, et aucune de mana alors qu'il envoyait une pléthore de sorts.
Après un petit quart d'heure de jeu, un message « Thank you for playing » apparaît à l'écran. C'est le signal pour les assistants Blizzard de nous demander de quitter la salle, en nous remerciant d'avoir joué.
Deux heures de file étaient nécessaires pour pouvoir y jouer, mais c'est fou ce qu'un badge de presse peut ouvrir comme portes de nos jours.
La session de jeu nous emmène dans un désert rempli de créatures à exterminer. Pour démarrer, on choisit le Witch Doctor, une partie en ligne et on y va. Ce personnage dispose d'une bonne palette de sorts à sa disposition, comme la possibilité d'invoquer un chien démoniaque ou quelques araignées. De plus, il est capable de terrifier ses ennemis et de leur lancer des projectiles de feu.
Premier constat, n'en déplaise aux équipes de Diablo 3 How it Should Be, on se trouve bel et bien devant un Diablo, pas un Torchlight. Désert oblige, la palette de couleurs tendait vers des couleurs sable, et les modèles et environnements sont semi-réalistes. Notre Witch Doctor est rapide et efficace, et rapidement, le sable fin vire au rouge sous les litres de sang chaud versés par nos ennemis. La première mission nous demande de rejoindre la ville d'à côté, en suivant le chemin à travers les dunes. On aurait pu le faire, mais c'est bien connu qu'il y a bien plus de gibier à hacker et à slasher dans les chemins détournés que dans les villes. Notre équipe décide donc d'exterminer toutes les engeances des enfers que nous rencontrons dans les recoins de la carte. La mini-carte se dévoile au fur et à mesure de notre exploration, et des indicateurs témoignent où se trouvent nos coéquipiers.
La prise en main est immédiate : les mouvements sont fluides, et on se met rapidement à élaborer des stratégies face aux multiples ennemis que nous rencontrons : on lance quelques boules de feu, on leur fait peur, puis on termine le boulot à l'arme blanche.
Peut-être que le niveau de difficulté a été adapté pour la présentation GamesCom, mais le niveau de mana et de santé se régénère automatiquement, ce qui fait que l'on n'était pratiquement jamais à court de mana. Par contre, la régénération est plus rapide quand on est « au repos » qu'en combat, donc vous aurez malgré tout besoin des potions indispensables à tout bon aventurier. Enfin, pendant toute la durée de jeu, mon personnage n'a utilisé que deux potions de soins, et aucune de mana alors qu'il envoyait une pléthore de sorts.
Après un petit quart d'heure de jeu, un message « Thank you for playing » apparaît à l'écran. C'est le signal pour les assistants Blizzard de nous demander de quitter la salle, en nous remerciant d'avoir joué.