ACTU
GC : Darkspore, cet univers impitoyable
par ClémentXVII,
email @ClementXVII
Nous vous en parlions pas plus tard que ce matin et, après une petite session de jeu sur le stand public d'EA, voici nos impressions sur ce nouveau jeu de rôle produit par Maxis avec la collaboration de BioWare.
Le jeu démarre dans une sorte de hub central où sont affichés les 3 personnages disponibles. Probablement que les instructions de mission ont déjà été données, car une fois qu'on clique sur le gros bouton "Play", on arrive sur une carte en vue isométrique, et on commence à se faire attaquer de toutes parts par de drôles de petites créatures. Les terrasser peut rapporter de l'ADN ou d'autres capacités spéciales, mais on ne peut pas les utiliser directement.
Le reste du jeu n'est qu'une succession de niveaux où l'on passe d'un bout de la map à l'autre en tapant sur tout ce qui bouge. Chaque personnage a ses propres capacités (définies en fonction de l'ADN), et certaines capacités sont partagées, comme le tapis de feu ou la guérison. On peut changer de créature à tout moment, et elles ont chacune leur propre barre de santé. En revanche, si l'une d'entre elle passe l'arme à gauche, son pouvoir partagé n'est plus accessible.
L'action dans Darkspore est très rapide et incessante. Parfois on se croirait dans les scènes de combat d'un Ratchet & Clank en vue isométrique tant les respawn de monstres sont nombreux.
Pour l'instant, impossible de savoir ce que Maxis, EA ou Bioware entendent par la composante RPG du titre. Si cela fait référence aux possibilité d'extension des statistiques des créatures (à l'aide de l'ADN par exemple), cela rendrait Darkspore tout aussi RPG que Evolva, par exemple. Pour l'instant, le jeu semble plus proche du hack'n slash génétique qu'autre chose mais néanmoins fun à jouer.
Le jeu démarre dans une sorte de hub central où sont affichés les 3 personnages disponibles. Probablement que les instructions de mission ont déjà été données, car une fois qu'on clique sur le gros bouton "Play", on arrive sur une carte en vue isométrique, et on commence à se faire attaquer de toutes parts par de drôles de petites créatures. Les terrasser peut rapporter de l'ADN ou d'autres capacités spéciales, mais on ne peut pas les utiliser directement.
Le reste du jeu n'est qu'une succession de niveaux où l'on passe d'un bout de la map à l'autre en tapant sur tout ce qui bouge. Chaque personnage a ses propres capacités (définies en fonction de l'ADN), et certaines capacités sont partagées, comme le tapis de feu ou la guérison. On peut changer de créature à tout moment, et elles ont chacune leur propre barre de santé. En revanche, si l'une d'entre elle passe l'arme à gauche, son pouvoir partagé n'est plus accessible.
L'action dans Darkspore est très rapide et incessante. Parfois on se croirait dans les scènes de combat d'un Ratchet & Clank en vue isométrique tant les respawn de monstres sont nombreux.
Pour l'instant, impossible de savoir ce que Maxis, EA ou Bioware entendent par la composante RPG du titre. Si cela fait référence aux possibilité d'extension des statistiques des créatures (à l'aide de l'ADN par exemple), cela rendrait Darkspore tout aussi RPG que Evolva, par exemple. Pour l'instant, le jeu semble plus proche du hack'n slash génétique qu'autre chose mais néanmoins fun à jouer.