ACTU
FactorAwards 2011 : Echecs critiques
par CBL,
email @CBL_Factor
Un échec critique dans le petit monde du jeu de rôle papier, c'est quand vous faites un score aux dés tellement nul qu'en plus de rater votre action, les conséquences sont généralement tragiques voire fatales. Par exemple, faites un critique sur un jet de chirurgie et le pote que vous opérez se retrouvera avec deux jambes en moins alors qu'il est blessé au bras. Dans l'industrie vidéoludique, on a l'impression que certains s'acharnent à relancer les dés jusqu'à ce qu'ils arrivent à faire un critique.
Le 20 avril, le PSN tombe suite à une attaque par dénis de service nous dit-on. Le 23 avril, Sony décide de couper complètement le PSN. Le 26 avril (15 ans après Tchernobyl), ils finissent par avouer la vérité : ils se sont faits méchamment pirater et les pirates ont volé des millions d'informations mal protégées sur les utilisateurs allant du login aux numéros de carte de crédit. Sony va essayer de calmer le jeu en promettant d'offrir des jeux et en envoyant les patrons faire leur mea culpa.
Le 3 mai, on apprend qu'ils ont été hackés de nouveau. Cette fois c'est les serveurs de Sony Online Entertainment qui ont été piratés avec les mêmes conséquences. Sony rebalance une série d'excuses et de compensations. Le 16 mai, Sony réactive le jeu en ligne sur le PSN (le store suivra après) et les serveurs de SOE non sans faire quelques boulettes. Cette petite blague leur aura quand même coûté près de 180 millions de dollars et nous a fait bien rigoler pendant deux mois.
Les éditeurs font preuve d'une ingéniosité infinie quand il s'agit de vendre des trucs idiots. Cette année ils se sont surpassés en vendant encore plus de costumes, cartes, cheat codes, bâtiments, armes, missions, voitures ... que d'habitude tout en l'annonçant parfois avant la sortie du jeu sans la moindre honte. Mais Sega a battu tous les records avec son blood pack pour Total War: Shogun 2 qui ajoute des effets gores dans le jeu. A ce train-là, on finira un jour par payer pour pouvoir sauver ou modifier les contrôles.
Award de l'échec de l'année : La crise du PSN
Le 20 avril, le PSN tombe suite à une attaque par dénis de service nous dit-on. Le 23 avril, Sony décide de couper complètement le PSN. Le 26 avril (15 ans après Tchernobyl), ils finissent par avouer la vérité : ils se sont faits méchamment pirater et les pirates ont volé des millions d'informations mal protégées sur les utilisateurs allant du login aux numéros de carte de crédit. Sony va essayer de calmer le jeu en promettant d'offrir des jeux et en envoyant les patrons faire leur mea culpa.
Le 3 mai, on apprend qu'ils ont été hackés de nouveau. Cette fois c'est les serveurs de Sony Online Entertainment qui ont été piratés avec les mêmes conséquences. Sony rebalance une série d'excuses et de compensations. Le 16 mai, Sony réactive le jeu en ligne sur le PSN (le store suivra après) et les serveurs de SOE non sans faire quelques boulettes. Cette petite blague leur aura quand même coûté près de 180 millions de dollars et nous a fait bien rigoler pendant deux mois.
Award du DLC de la honte : Le blood pack de Shogun 2
Les éditeurs font preuve d'une ingéniosité infinie quand il s'agit de vendre des trucs idiots. Cette année ils se sont surpassés en vendant encore plus de costumes, cartes, cheat codes, bâtiments, armes, missions, voitures ... que d'habitude tout en l'annonçant parfois avant la sortie du jeu sans la moindre honte. Mais Sega a battu tous les records avec son blood pack pour Total War: Shogun 2 qui ajoute des effets gores dans le jeu. A ce train-là, on finira un jour par payer pour pouvoir sauver ou modifier les contrôles.