ACTU
Engagez-vous, rengagez-vous qu'ils disaient
par CBL, d'après Gamasutra
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EA nous envoie une nouvelle vidéo d'Army of Two. Tout commence par une parodie de pub de recrutement pour arriver sur le message COLD HARD CASH. En effet, les deux héros du jeu ne seront pas des soldats de l'US Army mais des PMCs (private military contractors, des mercenaires en résumé) envoyés en mission par la société fictive SSC. C'est un des aspects du jeu qu'on ignorait et pourtant c'est le plus important : la critique des entreprises de "sécurité" comme Blackwater qui envoient leurs mercenaires partout dans le monde comme nous l'explique Chris Ferriera, le lead designer du jeu.
Les Américains commettant des délits ou des crimes à l'étranger ne relevant pas de la justice des USA, cela permet aux PMCs d'avoir une liberté d'action presque totale sans être inquiétés (sauf si le pays en question leur met la main dessus). Ils sont généralement payés via des sociétés-écrans ce qui permet d'éviter à la grosse compagnie d'être inquiétée en cas de problème. Parfois ils sont envoyés pour protéger un contrat humanitaire pour le compte du gouvernement mais d'autres fois c'est pour protéger des intérêts privés assez glauques (pétrole...). Les PMCs sont souvent d'anciens membres des forces spéciales attirés par l'action, l'argent et la possibilité d'aller au combat avec son propre matos.
C'est le cas des deux héros du jeu. Au fur et à mesure que le scénario avance, ils vont découvrir toute la corruption et la pourriture que cache ce système. Le jeu se passe de nos jours dans des endroits réels. Les messages politiques intelligents étant rares dans les jeux, saluons cette bonne idée des développeurs d'EA Montreal et espérons que le message passe.
Le reste de l'interview parle du jeu en lui-même. Elle confirme qu'il sera jouable en coop online comme en écran splitté. Chris Ferriera insiste sur le fait que ce n'est pas juste une campagne solo auquelle on peut faire participer un pote à la Gears of War mais que le jeu est conçu pour être joué à deux du début à la fin. Le jeu fonctionne un peu comme un buddy movie avec les deux héros (un jeune et un plus agé) qui s'envoient des vannes de temps à autres.
Il y a un bon paquet de mouvements qu'on peut faire à deux et ce, avec seulement un ou deux boutons. Les développeurs ont imaginé ces possibilités de coopération avant même que le jeu existe. Au départ, il y avait 32 mouvements mais la plupart ont été enlevés car ils n'auraient pas été utilisés. Par contre, ils ont laissé la possibilité de customiser les personnages et les armes. Techniquement, c'est l'UE 3 qui tourne derrière.
Les Américains commettant des délits ou des crimes à l'étranger ne relevant pas de la justice des USA, cela permet aux PMCs d'avoir une liberté d'action presque totale sans être inquiétés (sauf si le pays en question leur met la main dessus). Ils sont généralement payés via des sociétés-écrans ce qui permet d'éviter à la grosse compagnie d'être inquiétée en cas de problème. Parfois ils sont envoyés pour protéger un contrat humanitaire pour le compte du gouvernement mais d'autres fois c'est pour protéger des intérêts privés assez glauques (pétrole...). Les PMCs sont souvent d'anciens membres des forces spéciales attirés par l'action, l'argent et la possibilité d'aller au combat avec son propre matos.
C'est le cas des deux héros du jeu. Au fur et à mesure que le scénario avance, ils vont découvrir toute la corruption et la pourriture que cache ce système. Le jeu se passe de nos jours dans des endroits réels. Les messages politiques intelligents étant rares dans les jeux, saluons cette bonne idée des développeurs d'EA Montreal et espérons que le message passe.
Le reste de l'interview parle du jeu en lui-même. Elle confirme qu'il sera jouable en coop online comme en écran splitté. Chris Ferriera insiste sur le fait que ce n'est pas juste une campagne solo auquelle on peut faire participer un pote à la Gears of War mais que le jeu est conçu pour être joué à deux du début à la fin. Le jeu fonctionne un peu comme un buddy movie avec les deux héros (un jeune et un plus agé) qui s'envoient des vannes de temps à autres.
Il y a un bon paquet de mouvements qu'on peut faire à deux et ce, avec seulement un ou deux boutons. Les développeurs ont imaginé ces possibilités de coopération avant même que le jeu existe. Au départ, il y avait 32 mouvements mais la plupart ont été enlevés car ils n'auraient pas été utilisés. Par contre, ils ont laissé la possibilité de customiser les personnages et les armes. Techniquement, c'est l'UE 3 qui tourne derrière.