ACTU
E3 : Premiers QTE dans Ryse
Crytek et Microsoft étaient main dans la main pour nous présenter le reboot de Ryse: Son of Rome, ce jeu initialement exclusif à Kinect pour la 360 qui est devenu un titre Xbox One se jouant quasiment uniquement au pad, la caméra de la console n’étant plus utilisée que pour recevoir des ordres donnés à la voix (que l’on peut donner également via une simple pression de bouton).
Hélas, on n’a pas vu grand chose de plus, mais on a pu obtenir quelques informations en grattant un petit peu.
Ryse: Son of Rome, c’est l’histoire d’un mec dont la famille entière s’est fait buter. Du coup, il n’est pas super heureux et a bien envie de le faire payer à tous ses ennemis. Il s’engage donc dans la légion romaine pour découper tout ce qui bouge, et en devient même un leader.
On peut donc donner des ordres à ses légionnaires, comme maintenir une formation, capturer un point donné ou effectuer un tir d’archer. Petit souci sur la démo, ces actions sont uniquement contextuelles, privant ainsi le joueur de toute liberté d’action. Cela semble être le parti pris du jeu, qui privilégie le grand spectacle et le visuel au détriment du gameplay. Mais c’était peut-être dû uniquement à la courte démo qui nous été présentée.
Basés uniquement sur le timing et bourrés de QTE, les combats ne présentent pas un grand intérêt. Les développeurs promettent 120 “finishing moves” qui sont pour eux le coeur du jeu. En plus d’apporter de l’émotion à la ménagère de moins de cinquante ans, ceux-ci vont permettre au joueur de faire progresser son personnage. Selon le dernier mouvement qui donne la mort à son adversaire, on gagnera de la vie (pratique, vu qu’il n’y a pas d’autoregen), de l’XP, de l’argent ou un quatrième bonus encore secret. On marque également des points à chaque action, et si on arrive à bien enchaîner dans le bon tempo, on peut faire très vite grimper son score. On ne connaît pas encore la finalité de tout ça, mais les développeurs ont beaucoup insisté là dessus. Enfin, un mode hardcore sera présent avec quasiment aucune indication à l’écran, et il faudra donc deviner le mouvement à faire ou le bouton sur lequel appuyer en fonction des animations, un peu à la manière de Beyond Two Souls.
Enfin, on nous a juste parlé brièvement du multijoueur, pour lequel on débloque des capacités et des outfits en jouant en solo. Et... c’est tout ce que l’on apprendra. Histoire de nous achever en beauté, on nous a parlé de l’intégration de smartglass pour une sorte de Miiverse amélioré : on peut découvrir la progression de nos amis, consulter leurs scores et même voir des vidéos de leurs passages marquants (special kill, combo de dingue, etc.).
Bref, on n’a pas été enchantés par Ryse, qui part dans une direction qui n’est pas la nôtre. Vu la conviction des développeurs à aller dans ce sens, on craint que le titre ne reste au final qu’une vitrine technologique pour la Xbox One. Dommage.
Hélas, on n’a pas vu grand chose de plus, mais on a pu obtenir quelques informations en grattant un petit peu.
Ryse: Son of Rome, c’est l’histoire d’un mec dont la famille entière s’est fait buter. Du coup, il n’est pas super heureux et a bien envie de le faire payer à tous ses ennemis. Il s’engage donc dans la légion romaine pour découper tout ce qui bouge, et en devient même un leader.
On peut donc donner des ordres à ses légionnaires, comme maintenir une formation, capturer un point donné ou effectuer un tir d’archer. Petit souci sur la démo, ces actions sont uniquement contextuelles, privant ainsi le joueur de toute liberté d’action. Cela semble être le parti pris du jeu, qui privilégie le grand spectacle et le visuel au détriment du gameplay. Mais c’était peut-être dû uniquement à la courte démo qui nous été présentée.
Basés uniquement sur le timing et bourrés de QTE, les combats ne présentent pas un grand intérêt. Les développeurs promettent 120 “finishing moves” qui sont pour eux le coeur du jeu. En plus d’apporter de l’émotion à la ménagère de moins de cinquante ans, ceux-ci vont permettre au joueur de faire progresser son personnage. Selon le dernier mouvement qui donne la mort à son adversaire, on gagnera de la vie (pratique, vu qu’il n’y a pas d’autoregen), de l’XP, de l’argent ou un quatrième bonus encore secret. On marque également des points à chaque action, et si on arrive à bien enchaîner dans le bon tempo, on peut faire très vite grimper son score. On ne connaît pas encore la finalité de tout ça, mais les développeurs ont beaucoup insisté là dessus. Enfin, un mode hardcore sera présent avec quasiment aucune indication à l’écran, et il faudra donc deviner le mouvement à faire ou le bouton sur lequel appuyer en fonction des animations, un peu à la manière de Beyond Two Souls.
Enfin, on nous a juste parlé brièvement du multijoueur, pour lequel on débloque des capacités et des outfits en jouant en solo. Et... c’est tout ce que l’on apprendra. Histoire de nous achever en beauté, on nous a parlé de l’intégration de smartglass pour une sorte de Miiverse amélioré : on peut découvrir la progression de nos amis, consulter leurs scores et même voir des vidéos de leurs passages marquants (special kill, combo de dingue, etc.).
Bref, on n’a pas été enchantés par Ryse, qui part dans une direction qui n’est pas la nôtre. Vu la conviction des développeurs à aller dans ce sens, on craint que le titre ne reste au final qu’une vitrine technologique pour la Xbox One. Dommage.