ACTU
E3 : Premiers combats sur Anarchy Reigns
par CBL,
email @CBL_Factor
Jusqu'à présent, la collaboration Sega / Platinum Games a donné un sans-faute. Du coup, on était plutôt confiant en allant à présentation d'Anarchy Reigns. Grosse surprise : Atsushi Inaba avait fait le déplacement.
Anarchy Reigns est un jeu de baston à plusieurs à la Power Stone. Ca signifie que le mode solo n'a pas un grand intérêt. Il est là pour débloquer les différents personnages du jeu, vous compter vaguement l'histoire de chacun et c'est à peu près tout.
Du coup après avoir sagement écouté la présentation et avoir dit une centaine de "domo arigato" à Inaba pour l'ensemble de son oeuvre, on est allé tester la bête directement sur le stand Sega. Un seul mode était disponible : du deathmatch à 4. Il n'y avait aussi qu'un seul niveau : un porte-avion échoué et en ruine. Dans la liste de personnages jouables, on reconnaissait Jack, le Baron Noir et Mathilda, tous trois issus de MadWorld. Par contre Inaba nous a dit que Bayonetta ne sera pas jouable mais on ne sait jamais : le titre ne sort que dans un an.
Une fois dans l'arène, le but est simple : casser la gueule des autres. Les contrôles sont instinctifs et très réactifs : un bouton pour les attaques faibles, un bouton pour les attaques fortes, un bouton pour les projections, un bouton pour utiliser son arme, un bouton pour sauter et un bouton pour courir. On peut aussi verrouiller un ennemi histoire de ne pas le perdre de vue.
J'avais choisi un gros barbare équipé d'un marteau de guerre. Le jeu manquait d'équilibrage vu que mes attaques étaient bien trop meurtrières et que j'étais pourtant très rapide. On se castagne dans la joie et l'allégresse et on fait progressivement monter une barre de furie qui est dévastatrice quand on la libère. Il est aussi possible de ramasser des bonus pour par exemple devenir invisible.
De temps en temps, un évènement aléatoire vient perturber le cours de la partie et modifier l'aspect du niveau du genre un bombardier qui lâche sa cargaison. Les développeurs avaient prévus d'inclure un tsunami mais ils l'ont retiré. Les niveaux comportent aussi quelques armes de fortune. On peut ainsi se battre avec un transpalettes. Ces armes sont malheureusement rares et les niveaux sont vides.
Au final on s'amuse bien mais le jeu est assez creux. On est à des années lumières des armes délirantes d'un Power Stone 2, des niveaux en mouvement d'un Kung-Fu Chaos ou du chaos d'un Super Smash Bros Brawl. C'est bien la première fois qu'un titre Platinum manque de folie. En plus les graphismes sont très banaux pour ne pas dire moches.
Anarchy Reigns est un jeu de baston à plusieurs à la Power Stone. Ca signifie que le mode solo n'a pas un grand intérêt. Il est là pour débloquer les différents personnages du jeu, vous compter vaguement l'histoire de chacun et c'est à peu près tout.
Du coup après avoir sagement écouté la présentation et avoir dit une centaine de "domo arigato" à Inaba pour l'ensemble de son oeuvre, on est allé tester la bête directement sur le stand Sega. Un seul mode était disponible : du deathmatch à 4. Il n'y avait aussi qu'un seul niveau : un porte-avion échoué et en ruine. Dans la liste de personnages jouables, on reconnaissait Jack, le Baron Noir et Mathilda, tous trois issus de MadWorld. Par contre Inaba nous a dit que Bayonetta ne sera pas jouable mais on ne sait jamais : le titre ne sort que dans un an.
Une fois dans l'arène, le but est simple : casser la gueule des autres. Les contrôles sont instinctifs et très réactifs : un bouton pour les attaques faibles, un bouton pour les attaques fortes, un bouton pour les projections, un bouton pour utiliser son arme, un bouton pour sauter et un bouton pour courir. On peut aussi verrouiller un ennemi histoire de ne pas le perdre de vue.
J'avais choisi un gros barbare équipé d'un marteau de guerre. Le jeu manquait d'équilibrage vu que mes attaques étaient bien trop meurtrières et que j'étais pourtant très rapide. On se castagne dans la joie et l'allégresse et on fait progressivement monter une barre de furie qui est dévastatrice quand on la libère. Il est aussi possible de ramasser des bonus pour par exemple devenir invisible.
De temps en temps, un évènement aléatoire vient perturber le cours de la partie et modifier l'aspect du niveau du genre un bombardier qui lâche sa cargaison. Les développeurs avaient prévus d'inclure un tsunami mais ils l'ont retiré. Les niveaux comportent aussi quelques armes de fortune. On peut ainsi se battre avec un transpalettes. Ces armes sont malheureusement rares et les niveaux sont vides.
Au final on s'amuse bien mais le jeu est assez creux. On est à des années lumières des armes délirantes d'un Power Stone 2, des niveaux en mouvement d'un Kung-Fu Chaos ou du chaos d'un Super Smash Bros Brawl. C'est bien la première fois qu'un titre Platinum manque de folie. En plus les graphismes sont très banaux pour ne pas dire moches.