ACTU
E3 : Premières escarmouches dans Rome 2 Total War
Après les jeux de foot et les jeux de bagnole, il me restait évidemment à me coltiner un RTS. Bon, je suis quand même aller jouer à l'un des plus attendus du genre, Total War : Rome II, donc je n'ai pas vraiment à me plaindre.
D'autant que le titre de The Creative Assembly et Sega n'a pas déçu, loin de là.
La session de 30 minutes étaient découpée en deux parties. Il fallait tout d'abord se frapper un exposé d'une grosse dizaine de minutes sur la carte de campagne du jeu. J'aimerais bien être mauvaise langue, mais ce que j'y ai vu m'a hélas beaucoup plus.
Une carte énorme allant de l'Europe de l'Ouest jusqu'au Moyen Orient en passant par l'Afrique du Nord et l'Europe de l'Est, voila notre terrain de jeu. On peut y faire une myriade de choses, comme par exemple construire des extensions dans nos villes afin de les étendre et de profiter d'un buff durant les combats. Il va falloir également gérer la politique interne au sénat de Rome, en identifiant ses amis et ennemis. On peut supporter, extorquer, discréditer ou carrément assassiner un membre des familles.
Comme promis, l'accent a été mis sur les légions et leur personnalisation. Dotées d'un système de progression via XP, elles peuvent être modelées selon nos envies voire même carrément spécialisées dans une branche. Ajoutez à cela que chaque capitaine a également ses skills et ses traits de caractères, on comprend que les possibilités seront nombreuses. Gros soulagement d'ailleurs, puisque le temps investi à faire progresser et peaufiner une légion ne sera jamais perdu. Si celle-ci trépasse sur le champs de bataille, ramener son étendard à Rome permettra de la refaire à neuf avec de nouvelles recrues tout en conservant expérience et compétences. On pourra également recruter en terrain allié, et même engager des mercenaires à prix d'or lorsque l'on est sur un territoire hostile.
Il faudra également user de toute sa diplomatie pour traiter avec les différentes factions du jeu, comme Sparte, Athènes, Teutonie ou encore l'Egypte. Bon, comme on est quand même l'armée romaine, ça finit souvent par une bonne grosse guerre des familles. C'est là que la démo du jeu passait en hands-on, pour une bataille au pays de Cléopâtre.
On avait le choix entre la défense égyptienne, plus nombreuse et mieux placée en haut d'une colline (mode facile), et les assaillants romains (mode difficile). En voulant faire le malin et parce que c'est plus classe, j'ai voulu tester les romains. Grand mal m'en a pris. Une petite cut-scene d'introduction nous mettait dans l'ambiance, en expliquant la situation actuelle et les enjeux de la bataille.
Un rapide coup d'oeil aux contrôles (très classiques), et après un petit temps de réglage, je disposais donc de mes troupes que je planquais rapidement dans la forêt pour ne pas me faire allumer par l'ennemi en hauteur, puis m'occupais de mes quelques navires à disposition pour aller les faire débarquer derrière les lignes ennemies. Il n'aura pas fallu longtemps pour que la flotte égyptienne m'intercepte et coule mon porte avion, me laissant dans la mouise avec mes pauvres soldats terrés en forêt.
Tentant le tout pour le tout, j'envoyais toutes mes troupes pour un assaut frontal en tentant de rusher le QG ennemi. C'est là que j'ai fait la douloureuse découverte de l'importance de la topographie. Mes armées furent laminées, une vrai boucherie. L'occasion pour moi de zoomer au maximum pour découvrir mes romains fuir comme des pleutres et les entendre gémir au plus près de l'action. Et comme prévu, c'est fort joli.
J'ai eu le temps de commencer une deuxième partie, où j'ai rapidement fait débarquer mes troupes en bateau pour rejoindre le reste de mes unités. Une charge de cavalerie a eu raison des ravageuses catapultes ennemies tandis que j'envoyais mes archers prendre l'ennemi à revers. L'occasion de découvrir que chaque unité dispose d'une foule d'options (marcher/courir, attitude, formation) ce qui permet de jongler entre macro et micro à la perfection. Il faudra toujours faire attention à l'efficacité d'une unité contre un ennemi, et également tenter de le prendre à revers ou en sandwich.
Mon plan machiavélique se déroulait sans accroc jusqu'à ce que les développeurs me sortent du jeu pour m'indiquer que la démo était terminée. Inutile de vous dire que j'ai hâte d'être au 3 septembre pour finir le boulot, tans ce Total War : Rome II a l'air de tenir toutes ses promesses.
D'autant que le titre de The Creative Assembly et Sega n'a pas déçu, loin de là.
Rome cocasse
La session de 30 minutes étaient découpée en deux parties. Il fallait tout d'abord se frapper un exposé d'une grosse dizaine de minutes sur la carte de campagne du jeu. J'aimerais bien être mauvaise langue, mais ce que j'y ai vu m'a hélas beaucoup plus.
Une carte énorme allant de l'Europe de l'Ouest jusqu'au Moyen Orient en passant par l'Afrique du Nord et l'Europe de l'Est, voila notre terrain de jeu. On peut y faire une myriade de choses, comme par exemple construire des extensions dans nos villes afin de les étendre et de profiter d'un buff durant les combats. Il va falloir également gérer la politique interne au sénat de Rome, en identifiant ses amis et ennemis. On peut supporter, extorquer, discréditer ou carrément assassiner un membre des familles.
Comme promis, l'accent a été mis sur les légions et leur personnalisation. Dotées d'un système de progression via XP, elles peuvent être modelées selon nos envies voire même carrément spécialisées dans une branche. Ajoutez à cela que chaque capitaine a également ses skills et ses traits de caractères, on comprend que les possibilités seront nombreuses. Gros soulagement d'ailleurs, puisque le temps investi à faire progresser et peaufiner une légion ne sera jamais perdu. Si celle-ci trépasse sur le champs de bataille, ramener son étendard à Rome permettra de la refaire à neuf avec de nouvelles recrues tout en conservant expérience et compétences. On pourra également recruter en terrain allié, et même engager des mercenaires à prix d'or lorsque l'on est sur un territoire hostile.
Il faudra également user de toute sa diplomatie pour traiter avec les différentes factions du jeu, comme Sparte, Athènes, Teutonie ou encore l'Egypte. Bon, comme on est quand même l'armée romaine, ça finit souvent par une bonne grosse guerre des familles. C'est là que la démo du jeu passait en hands-on, pour une bataille au pays de Cléopâtre.
On avait le choix entre la défense égyptienne, plus nombreuse et mieux placée en haut d'une colline (mode facile), et les assaillants romains (mode difficile). En voulant faire le malin et parce que c'est plus classe, j'ai voulu tester les romains. Grand mal m'en a pris. Une petite cut-scene d'introduction nous mettait dans l'ambiance, en expliquant la situation actuelle et les enjeux de la bataille.
Plongée dans le grand therme
Un rapide coup d'oeil aux contrôles (très classiques), et après un petit temps de réglage, je disposais donc de mes troupes que je planquais rapidement dans la forêt pour ne pas me faire allumer par l'ennemi en hauteur, puis m'occupais de mes quelques navires à disposition pour aller les faire débarquer derrière les lignes ennemies. Il n'aura pas fallu longtemps pour que la flotte égyptienne m'intercepte et coule mon porte avion, me laissant dans la mouise avec mes pauvres soldats terrés en forêt.
Tentant le tout pour le tout, j'envoyais toutes mes troupes pour un assaut frontal en tentant de rusher le QG ennemi. C'est là que j'ai fait la douloureuse découverte de l'importance de la topographie. Mes armées furent laminées, une vrai boucherie. L'occasion pour moi de zoomer au maximum pour découvrir mes romains fuir comme des pleutres et les entendre gémir au plus près de l'action. Et comme prévu, c'est fort joli.
J'ai eu le temps de commencer une deuxième partie, où j'ai rapidement fait débarquer mes troupes en bateau pour rejoindre le reste de mes unités. Une charge de cavalerie a eu raison des ravageuses catapultes ennemies tandis que j'envoyais mes archers prendre l'ennemi à revers. L'occasion de découvrir que chaque unité dispose d'une foule d'options (marcher/courir, attitude, formation) ce qui permet de jongler entre macro et micro à la perfection. Il faudra toujours faire attention à l'efficacité d'une unité contre un ennemi, et également tenter de le prendre à revers ou en sandwich.
Mon plan machiavélique se déroulait sans accroc jusqu'à ce que les développeurs me sortent du jeu pour m'indiquer que la démo était terminée. Inutile de vous dire que j'ai hâte d'être au 3 septembre pour finir le boulot, tans ce Total War : Rome II a l'air de tenir toutes ses promesses.