ACTU
E3 : Avant-Première de Beyond Two Souls
C'est chargés d'émotion que nous avons pris notre courage à deux mains pour aller parcourir la démo de Beyond: Two Souls.
Le jeu cinématographique (ou film interactif si vous préférez) était jouable dans le salon presse de chez Sony où l'on a réussi à s'infiltrer. Impressions. Passion. Frisson. Emotion. Saucisson.
Directement plongé dans le bain en plein village africain où nous sommes apparemment recherchés, nous prenons le contrôle de Jodie (Ellen Page) et de Aiden (une boule bleue), l'âme qui l'accompagne. On protège un petit enfant autochtone pourtant armé armé d'un fusil automatique. Nous nous retrouvons pris sous le feu nourri des ennemis, et planqués derrière un muret, allons pouvoir attaquer la scène faisant office de didacticiel.
On commence donc par éliminer les deux adversaires proches grâce à Aiden, l'âme qui nous accompagne. D'une simple pression sur Triangle, qui correspond à peu près au summum de l'interactivité que l'on va rencontrer, on en prend le contrôle pour se balader dans les airs et à travers les murs. On se rapproche d'un garde, une pression sur la gâchette gauche et un mouvement de sticks : le voilà étranglé. Pour l'autre, on va plutôt faire péter un muret devant lui pour l'écraser avec un mouvement de sticks différents.
Enfin, on peut sortir de sa couverture pour aller vers une autre et se rapprocher de deux autres gardes autour d'une camionnette. Pour ce faire, il suffit d'une simple pression prolongée sur le bouton X. Là encore, on va utiliser Aiden pour prendre possession d'un des deux gardes. On joue ensuite ce même garde pour buter son comparse d'une balle dans la tronche, et on se met au volant. Ni une ni deux, Jodie et l'enfant montent dans la remorque.
On fait rouler le possédé et on se cache au fur et à mesure des checkpoints que l'on rencontre, toujours à l'aide d'une simple pression de bouton. S'ensuit une course poursuite (parce que évidemment, quoi que l'on fasse, on finit par être repérés) où l'on se bat avec quelques énergumènes ayant eu la mauvaise idée de nous rejoindre sur la remorque. C'est là qu'intervient l'innovation majeure de Beyond: Two Souls : le QTE sans QTE. En gros, lors d'un combat au corps à corps, le temps va passer en bullet time, et il faudra accompagner grâce au stick droit les mouvements de l'héroïne. Ces derniers n'étant pas toujours très lisibles ou compréhensibles, on prend quelques coups dans la tronche.
La poursuite finit dans un accident spectaculaire duquel on sort indemne on ne sait trop comment. Emotion. On se sépare du petit enfant qui vient de nous sauver la vie en assassinant un adulte froidement en lui faisant un gros câlin. Emotion. C'est là que l'on commence à devenir à peu près libre. Oh, ne vous enflammez pas, le chemin est bien prédéfini. Et au cas où vous seriez vraiment un gros manche, la caméra du jeu vous tient par la main. Celle-ci a un comportement assez étrange, la faisant pointer à peu près tout le temps vers la direction vers laquelle vous devez vous rendre. Ce qui pose des fois quelques soucis vu que l'on peut la diriger avec le stick droit comme dans n'importe quel FPS. Certains mouvements entrent donc en conflit et lui font faire n'importe quoi, mais c'est un coup à prendre.
On arrive finalement vers la fin du niveau où l'on doit buter ce qui semble être le chef des excités de la gâchette locaux. Là, pas de quartier : on prend le contrôle de l'un des gardes, on récupère une arme et on bute absolument tous les gens sur place dans une boucherie assez dérangeante, il faut l'avouer. Emotion. Une fois le cadavre du chef pris en photo et identifié, on se retourne pour découvrir le petit gamin qu'on avait laissé auparavant. Il se précipite sur l'un des corps pour le pleurer. Emotion. Ellen Page pleure, le petit garçon n'est pas très content. La scène est assez grotesque. Rires.
Le tohu-bohu a rameuté tous les habitants aux alentours, qui nous pourchassent avec leurs armes et nous tirent dessus. Touchée à la jambe, la jeune Jodie se retrouve acculée dans une petite maison. Hésitant entre se tirer une balle dans la tronche et s'en sortir (on n'a pas vraiment le choix, finalement). On arrive donc à grimper sur le toit grâce à Aiden et à se faire récupérer par un hélico alors que tout semblait perdu. Emotion.
On vous laisse avec une vidéo qui expliquera sans doute mieux les mécaniques du film que moi avec 2 grammes d'alcool dans le sang et un estomac de boeuf dans le bide. Emotion de censure.
Le jeu cinématographique (ou film interactif si vous préférez) était jouable dans le salon presse de chez Sony où l'on a réussi à s'infiltrer. Impressions. Passion. Frisson. Emotion. Saucisson.
Directement plongé dans le bain en plein village africain où nous sommes apparemment recherchés, nous prenons le contrôle de Jodie (Ellen Page) et de Aiden (une boule bleue), l'âme qui l'accompagne. On protège un petit enfant autochtone pourtant armé armé d'un fusil automatique. Nous nous retrouvons pris sous le feu nourri des ennemis, et planqués derrière un muret, allons pouvoir attaquer la scène faisant office de didacticiel.
On commence donc par éliminer les deux adversaires proches grâce à Aiden, l'âme qui nous accompagne. D'une simple pression sur Triangle, qui correspond à peu près au summum de l'interactivité que l'on va rencontrer, on en prend le contrôle pour se balader dans les airs et à travers les murs. On se rapproche d'un garde, une pression sur la gâchette gauche et un mouvement de sticks : le voilà étranglé. Pour l'autre, on va plutôt faire péter un muret devant lui pour l'écraser avec un mouvement de sticks différents.
Enfin, on peut sortir de sa couverture pour aller vers une autre et se rapprocher de deux autres gardes autour d'une camionnette. Pour ce faire, il suffit d'une simple pression prolongée sur le bouton X. Là encore, on va utiliser Aiden pour prendre possession d'un des deux gardes. On joue ensuite ce même garde pour buter son comparse d'une balle dans la tronche, et on se met au volant. Ni une ni deux, Jodie et l'enfant montent dans la remorque.
On fait rouler le possédé et on se cache au fur et à mesure des checkpoints que l'on rencontre, toujours à l'aide d'une simple pression de bouton. S'ensuit une course poursuite (parce que évidemment, quoi que l'on fasse, on finit par être repérés) où l'on se bat avec quelques énergumènes ayant eu la mauvaise idée de nous rejoindre sur la remorque. C'est là qu'intervient l'innovation majeure de Beyond: Two Souls : le QTE sans QTE. En gros, lors d'un combat au corps à corps, le temps va passer en bullet time, et il faudra accompagner grâce au stick droit les mouvements de l'héroïne. Ces derniers n'étant pas toujours très lisibles ou compréhensibles, on prend quelques coups dans la tronche.
L'Afrique, c'est chic
La poursuite finit dans un accident spectaculaire duquel on sort indemne on ne sait trop comment. Emotion. On se sépare du petit enfant qui vient de nous sauver la vie en assassinant un adulte froidement en lui faisant un gros câlin. Emotion. C'est là que l'on commence à devenir à peu près libre. Oh, ne vous enflammez pas, le chemin est bien prédéfini. Et au cas où vous seriez vraiment un gros manche, la caméra du jeu vous tient par la main. Celle-ci a un comportement assez étrange, la faisant pointer à peu près tout le temps vers la direction vers laquelle vous devez vous rendre. Ce qui pose des fois quelques soucis vu que l'on peut la diriger avec le stick droit comme dans n'importe quel FPS. Certains mouvements entrent donc en conflit et lui font faire n'importe quoi, mais c'est un coup à prendre.
On arrive finalement vers la fin du niveau où l'on doit buter ce qui semble être le chef des excités de la gâchette locaux. Là, pas de quartier : on prend le contrôle de l'un des gardes, on récupère une arme et on bute absolument tous les gens sur place dans une boucherie assez dérangeante, il faut l'avouer. Emotion. Une fois le cadavre du chef pris en photo et identifié, on se retourne pour découvrir le petit gamin qu'on avait laissé auparavant. Il se précipite sur l'un des corps pour le pleurer. Emotion. Ellen Page pleure, le petit garçon n'est pas très content. La scène est assez grotesque. Rires.
Le tohu-bohu a rameuté tous les habitants aux alentours, qui nous pourchassent avec leurs armes et nous tirent dessus. Touchée à la jambe, la jeune Jodie se retrouve acculée dans une petite maison. Hésitant entre se tirer une balle dans la tronche et s'en sortir (on n'a pas vraiment le choix, finalement). On arrive donc à grimper sur le toit grâce à Aiden et à se faire récupérer par un hélico alors que tout semblait perdu. Emotion.
On vous laisse avec une vidéo qui expliquera sans doute mieux les mécaniques du film que moi avec 2 grammes d'alcool dans le sang et un estomac de boeuf dans le bide. Emotion de censure.