ACTU
DRM Ubi : le désastre se poursuit
Vous pensiez que le petit incident technique qui vous avait ruiné votre dimanche après-midi en vous empêchant de jouer à Assassin's Creed 2 (ou Silent Hunter V, si vous avez de drôles de goûts) était du passé ? Que nenni.
Un tweet d'Ubisoft nous apprend en effet que les serveurs sont de nouveau en rade et que "certains" joueurs ne peuvent pas se connecter (pour jouer à leur jeu solo offline, est-il utile de le rappeler). Ces problèmes sont causés par de vilains piratins qui, sûrement frustrés de ne pas arriver à cracker la protection des jeux sus-cités, lancent des attaques DDoS sur les serveurs d'authentification pour les envoyer dans les choux.
Même si du coup les joueurs ne peuvent plus utiliser leur jeu (autrement qu'en cassant la galette en plein de petits morceaux tranchants et pointus qu'ils se feront un plaisir d'aller planter dans les yeux du gugus chez Ubisoft qui a eu la brillante idée de cette protection), on en viendrait presque à espérer que ces indisponibilités deviennent tellement fréquentes qu'elles poussent Ubi à se rendre compte de l'aberration que représente ce système et à le jeter aux oubliettes. On peut toujours rêver, ça ne coûte rien.
Un tweet d'Ubisoft nous apprend en effet que les serveurs sont de nouveau en rade et que "certains" joueurs ne peuvent pas se connecter (pour jouer à leur jeu solo offline, est-il utile de le rappeler). Ces problèmes sont causés par de vilains piratins qui, sûrement frustrés de ne pas arriver à cracker la protection des jeux sus-cités, lancent des attaques DDoS sur les serveurs d'authentification pour les envoyer dans les choux.
Même si du coup les joueurs ne peuvent plus utiliser leur jeu (autrement qu'en cassant la galette en plein de petits morceaux tranchants et pointus qu'ils se feront un plaisir d'aller planter dans les yeux du gugus chez Ubisoft qui a eu la brillante idée de cette protection), on en viendrait presque à espérer que ces indisponibilités deviennent tellement fréquentes qu'elles poussent Ubi à se rendre compte de l'aberration que représente ce système et à le jeter aux oubliettes. On peut toujours rêver, ça ne coûte rien.