ACTU
Des renforts se greffent à l'ARJEL
par Buck Rogers,
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L'Autorité de Régulation des Jeux en Ligne (ARJEL) ne se contente plus de faire seulement appel au Gaming Regulators European Forum (GREF) pour trouver une solution au questionnement autour des lootboxes dans les jeux vidéo, elle a décidé de s'allier également à plusieurs états vu le caractère international que représente le secteur. Et c'est donc via un communiqué que l'on a appris que seize régulateurs de jeux d'argent appartenant à l'Autriche, l'Espagne, la France, Gibraltar, l'Ile de Man, l'Irlande, Jersey, la Lettonie, Malte, la Norvège, les Pays-Bas, la Pologne, le Portugal, la République Tchèque, le Royaume-Uni, et l’état de Washington des États-Unis d'Amérique, ont signé ensemble une déclaration commune.
Il s'agit en priorité pour eux de protéger le public mineur, ce dernier pouvant très facilement prendre de mauvaises habitudes, mais aussi « d’assurer un haut niveau d’intégrité, de loyauté et de protection des consommateurs ». Et c'est sûr quand on voit le niveau de rentabilité des microtransactions en comparaison de l'investissement réel consenti par les sociétés de jeu vidéo, c'est purement indécent. Il ne sera cependant pas encore question à proprement parlé de régulation, et l'ARJEL va animer en ce sens un groupe de travail au sein du GREF le 28 octobre 2018 à Paris. La porte reste ouverte toutefois entre les régulateurs de jeux d'argent et les éditeurs de jeux vidéo, puisqu’une proposition de dialogue a été soumise à ces derniers.
Du coup, même si les choses avancent très doucement, on va dire qu'elles avancent quand même. Espérons juste que le temps nécessitant à la résolution de la problématique des microtransactions, les éditeurs n'aient pas trouvé un autre moyen de toucher le jackpot encore une fois au détriment des joueurs. Qui a parlé de streaming ?
Il s'agit en priorité pour eux de protéger le public mineur, ce dernier pouvant très facilement prendre de mauvaises habitudes, mais aussi « d’assurer un haut niveau d’intégrité, de loyauté et de protection des consommateurs ». Et c'est sûr quand on voit le niveau de rentabilité des microtransactions en comparaison de l'investissement réel consenti par les sociétés de jeu vidéo, c'est purement indécent. Il ne sera cependant pas encore question à proprement parlé de régulation, et l'ARJEL va animer en ce sens un groupe de travail au sein du GREF le 28 octobre 2018 à Paris. La porte reste ouverte toutefois entre les régulateurs de jeux d'argent et les éditeurs de jeux vidéo, puisqu’une proposition de dialogue a été soumise à ces derniers.
Du coup, même si les choses avancent très doucement, on va dire qu'elles avancent quand même. Espérons juste que le temps nécessitant à la résolution de la problématique des microtransactions, les éditeurs n'aient pas trouvé un autre moyen de toucher le jackpot encore une fois au détriment des joueurs. Qui a parlé de streaming ?