ACTU
Coup de semonce pour Dead to Rights
par Pixel Mort, d'après Kotaku
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Vis-à-vis de son modèle Max Payne, Dead to Rights a toujours joué le rôle du petit frère un peu honteux qu'on préfère remiser au grenier chaque fois qu'un invité vient à la maison. Maintenant que les premières infos percolent à propos de Dead to Rights : Retribution, on ne serait pas étonné que cette nouvelle mouture soit exactement du même tonneau. La preview de Kotaku s'attarde entre autre sur l'aspect ultraviolent du jeu, avec ses mises à mort sordides à grand renfort de bullet time. Aux prises avec une horde de terroristes naturellement sanguinaires, le très lisse Jack Slate devra alterner entre gunfights et combats à mains nues pour ramener un peu de quiétude à Grant City, théâtre des évènements.
On apprend qu'on pourra désarmer un ennemi, se servir de son corps abject comme d'un bouclier humain ou simplement se mettre à couvert derrière un élément du décor, d'une manière qui n'est pas sans rappeler la quasi totalité des jeux de tir sortis sur cette génération de consoles. Comme dans les précédents jeux, Jack compensera son absence de charisme par son chien Shadow, qui aura droit à ses propres niveaux dans lesquels il faudra la jouer un peu plus fine. Le cabot dispose désormais d'une vue hors du commun lui permettant de distinguer ses cibles à travers les objets solides, ceux-ci étant nimbés d'une sorte de halo rouge. Il pourra également rapporter les armes tombées au sol, aboyer pour éloigner un garde gênant et bien sûr trancher de la jugulaire.
Namco Bandai affirme avoir travaillé dix-huit mois sur le scénario, qu'on imagine bétonné, et promet que le joueur moyen en aura pour une dizaine d'heures avant de voir le générique final. Moyen, générique, deux adjectifs qui conviennent parfaitement à ces quelques visuels, assez propres au demeurant.
On apprend qu'on pourra désarmer un ennemi, se servir de son corps abject comme d'un bouclier humain ou simplement se mettre à couvert derrière un élément du décor, d'une manière qui n'est pas sans rappeler la quasi totalité des jeux de tir sortis sur cette génération de consoles. Comme dans les précédents jeux, Jack compensera son absence de charisme par son chien Shadow, qui aura droit à ses propres niveaux dans lesquels il faudra la jouer un peu plus fine. Le cabot dispose désormais d'une vue hors du commun lui permettant de distinguer ses cibles à travers les objets solides, ceux-ci étant nimbés d'une sorte de halo rouge. Il pourra également rapporter les armes tombées au sol, aboyer pour éloigner un garde gênant et bien sûr trancher de la jugulaire.
Namco Bandai affirme avoir travaillé dix-huit mois sur le scénario, qu'on imagine bétonné, et promet que le joueur moyen en aura pour une dizaine d'heures avant de voir le générique final. Moyen, générique, deux adjectifs qui conviennent parfaitement à ces quelques visuels, assez propres au demeurant.