ACTU
Bodycount : son papa papa ravi
par CBL, d'après NoFrag
email @CBL_Factor
Les premières previews de Bodycount sont tombées accompagnées de commentaires de son créateur, Stuart Black. Le designer de Black ne voulait pas faire un Black 2 et c'est pourtant exactement ce qu'il a fait avec Bodycount. Ca tombe bien vu qu'il a aussi recruté une bonne partie des dev de Black.
Bodycount sera donc un shoot bourrin sans scénario où on pourra tout casser avec des gros flingues tout en suivant les ordres données par trois bombasses. Contrairement à Black, le jeu ne sera pas un long couloir. Tout se passera sur une grande carte pleine d'objectifs et de gens à buter.
Il y a aura un compteur de morts (le fameux Bodycount) et faire des séries de frags débloquera des attaques spéciales (raids d'hélicoptères...) à la Call of Duty 4 : Modern Warfare. Au niveau destruction, le jeu devrait aller encore plus loin que Battlefield : Bad Company 2. Il y aura le même système permettant de se pencher/de se mettre à couvert que dans Killzone 2.
Pour la finir sur une petite touche absurde, Stuart Black dit avoir été profondemment marqué quand il a vu Lady Gaga l'année dernière à Glastonbury. Il ajoute même que sans cela, le jeu n'aurait pas le même feeling et la même tonalité. Puis il part dans un délire où il explique que l'industrie du jeu vidéo est paresseuse et repliée sur elle-même. Ca doit être ce qu'on appelle un coming-out.
Bodycount sera donc un shoot bourrin sans scénario où on pourra tout casser avec des gros flingues tout en suivant les ordres données par trois bombasses. Contrairement à Black, le jeu ne sera pas un long couloir. Tout se passera sur une grande carte pleine d'objectifs et de gens à buter.
Il y a aura un compteur de morts (le fameux Bodycount) et faire des séries de frags débloquera des attaques spéciales (raids d'hélicoptères...) à la Call of Duty 4 : Modern Warfare. Au niveau destruction, le jeu devrait aller encore plus loin que Battlefield : Bad Company 2. Il y aura le même système permettant de se pencher/de se mettre à couvert que dans Killzone 2.
Pour la finir sur une petite touche absurde, Stuart Black dit avoir été profondemment marqué quand il a vu Lady Gaga l'année dernière à Glastonbury. Il ajoute même que sans cela, le jeu n'aurait pas le même feeling et la même tonalité. Puis il part dans un délire où il explique que l'industrie du jeu vidéo est paresseuse et repliée sur elle-même. Ca doit être ce qu'on appelle un coming-out.