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Dying Light

Marc par Marc,  email
 
Laisser son enfant sur le bord de la route, c’est ce qu’a choisi de faire Techland avec Dead Island. Rentré en conflit avec son ex-éditeur, le studio a choisi de léguer sa licence d’équarrissage zombiesque à Deep Silver. On se souvient du tout premier trailer sublime du titre, promettant un univers tragique, sombre et mature. Malheureusement, ce dernier n’a su nous proposer qu’un scénario nanardesque digne d’une série Z. Né du désir de repartir sur une copie vierge, Dying Light a donc pour ambition de se doter d’un univers plus mature. Cependant, et on le sait bien, le carnage de corps putréfié n’est pas vraiment un terrain propice à un développement scénaristique poussé. Mais est-ce vraiment l’intérêt de cette remise à plat ?
 

Retour à Zombieland


Vous incarnez Kyle Crane, un agent du GRE, une agence paragouvernementale clandestine. Celle-ci a pour mission d’endiguer le virus transformant les habitants d’Haran en cadavres ambulants. Coincée entre occident et orient, cette ville de taille moyenne de l’est de la Turquie est alors entièrement bouclée et mise sous quarantaine. Balancé depuis un avion militaire cargo, c’est en parachute que votre alter ego découvre son nouveau terrain de jeu. Dans cette cité baignée par un soleil de plomb et balayée par des vents chargés de pollens, votre mission y sera de retrouver un certain Souleiman. Le larron n’est autre qu’un homme politique local véreux en possession de documents sensibles relatifs aux origines du virus.

C’est au milieu d’un bidonville crasseux que votre aventure commence. Vous êtes récupéré par une bande de résistants locaux ayant élu domicile dans un gratte-ciel, qui d'ailleurs s'empresseront de vous mettre vite au parfum. Bien évidement, ce groupe tente de survivre au milieu de tout ce foutoir. Pour ce faire, tout ce petit monde s’affaire à récupérer des largages humanitaires effectués par le GRE. Ces parachutages de vivres contiennent tout particulièrement des doses d’Antizine, un sérum retardant les effets du virus chez l’individu infecté. Cette situation délicate est encore compliquée par une lutte de tous les instants face à un certain Raïs.



Dangereux psychopathe, le bonhomme s’est monté sa propre petite milice paramilitaire essentiellement constituée de gros bras. Ces gentlemen ont pour principale activité le rançonnage et le pillage des autres groupes de survivants. Après un didacticiel trainant en longueur, vos nouveaux amis vous mettront très vite à contribution. Une flopée de quêtes annexes, aussi « passionnantes » que celles présentes dans Dead Island, vous sera assignée. Une fois déboulé dans les rues, on se rend alors vite compte que celles-ci sont littéralement engorgées par les zombies.

Même si on est loin des marées de cadavres proposées par un Dead Rising, la densité de la population cadavérique s’avère bien plus importante que dans la franchise de Deep Silver. Il apparait donc très vite comme suicidaire de foncer dans le tas et ça tombe bien, car vous allez pouvoir crapahuter tel un chat de gouttière de toit en toit. Tant vanté depuis l’annonce du jeu, le système de parkour s’impose dès le début comme une évidence. Escalader les murs, sauter du toit d’un taudis à un autre ou se déplacer agilement dans les rues jonchées de détritus sont autant de solutions qui s’avèrent préférables à l’affrontement direct.

Tant qu’il y a des prises, il est littéralement possible de grimper partout. Portée par des animations rapides, cette manière de se mouvoir dans l’espace urbain s’avère d’un fun et surtout d’une fluidité très efficace. Ce qui n’est pas un mal, car vous allez devoir jouer au yamakasi un bon bout de temps afin d’éviter la plèbe morbide. Si cette dernière est en majorité constituée de chair à canon, on retrouve également les traditionnels malabars lents (mais puissants), les coureurs extrêmement agiles, les cracheurs de bile et les zombies kamikazes qui ont manifestement mangé un peu trop épicé. Si ce bestiaire ne fait absolument pas dans l’originalité, il s’enrichit un peu plus de nuit. Le cycle jour nuit était lui aussi un des éléments les plus mis en avant lors de la promotion du titre, qu’en est-il donc?

The Dying Light : Wild Hunt

 
Lorsque le jour décline, Haran s’enfonce dans le noir complet. Se balader sans sa lampe de poche revient littéralement à se crever les deux yeux. De plus, la nuit s’avère être le terrain de chasse de prédilection de zombies spéciaux : les rapaces. Véritables plaies, ces derniers sont extrêmement sensibles à la lumière et se réfugient la journée au fin fond de tunnels. Relativement nombreux, ces derniers patrouillent à travers les rues à la recherche de victimes à dévorer. Leur présence est d’ailleurs symbolisée sur la mini-map, assortie d’un cône indiquant leur champ de vision. Si vous avez alors le malheur de rentrer dans celui-ci, ces traqueurs décharnés se mettront à vous poursuivre telle des bêtes démoniaques frénétiques. Et ne comptez pas les semer en jouant de votre accointance pour le parkour, car ces poursuivants zélés s’avèrent bien plus rapides et agiles que votre personnage.

Le seul moyen efficace pour tenter de sauver vos fesses est d’éblouir ces derniers avec une lampe UV, les aveuglant pendant quelques misérables secondes. Notez aussi que, comme les zombies classiques, ces derniers sont sensibles au bruit et à la lumière. On est donc parfois forcé de se balader sans lampe torche, afin d’éviter de se faire repérer, lorsque deux rapaces patrouillent à proximité. Ce qui a pour effet de se retrouver dans des situations parfois cocasses. Il n’est donc pas rare lorsqu’on rallume sa petite lampe, de se retrouver nez à nez avec une grappe de zombies qui s’empresseront de vous encercler. L’ambiance de ces phases de jeu est clairement une réussite.

Une véritable sensation de traque sauvage s’en dégage et fait naitre un sentiment indéniable de vulnérabilité. Cependant, s'adonner au parkour de nuit sera récompensé par des points d’expériences doublés, si vous survivez… C’est aussi là que réside la particularité du titre. L’expérience est répartie entre trois compétences : agilité, combat et survie. Chacune d’elle possède sa  barre de progression respective, à la manière d’un Skyrim. En clair, plus vous crapahutez plus vous remplirez votre barre d’agilité. Le même principe s’applique pour la branche combat. Côté survie, les précieux points s’acquièrent eux en accomplissant des quêtes. Une fois une barre de progression remplie, vous aurez un point à dépenser dans l’arbre de talent dédié.

Trinité survivaliste

 
Vous pourrez ainsi y piocher diverses compétences, vous transformant à terme en un véritable cabri doublé d’une moissonneuse batteuse. Grimper plus rapidement, courir à la verticale sur les murs, réduire les dégâts de chute sont autant de possibilités qui aideront Crane à se mouvoir bien plus agilement et rapidement. Les compétences de survie restent quant à elles dans le classique et vous octroieront un inventaire plus grand ou encore la possibilité de fabriquer divers gadgets (grenades, shurikens, etc.). Concernant l’arbre dédié au combat, certains perks débloqués vous font envisager les affrontements bien plus sereinement. Il s’agit pour la plupart de coups spéciaux (spécifiques à différents types d’armes) et de diverses améliorations. Mention spéciale au coup de pied joint à l’horizontale (façon catcheur) permettant d’envoyer valdinguer les zombies dans un effet particulièrement jouissif.

Ces améliorations vous font donc vite renouer avec le massacre de chair putréfiée. Pour cela vous disposez d’un éventail d’outils, un peu trop classique certes, mais qui n’a rien à envier à la sacoche d’ustensiles d’un artisan boucher-charcutier. Si vos premières armes s’avèrent relativement pathétiques (pied de table, clef à molette, tuyaux), on déniche rapidement machette, katana, claymore, marteau et autres joyeusetés qui s’avèrent bien plus efficaces.

Détail important, il n’est pas possible de réparer indéfiniment ses armes. Compter en moyenne de 3 à 5 réparations par objet. Toutefois, il est possible d’augmenter ce nombre à l’aide de diverses compétences de survie. Adieu également les ateliers puisque ces réparations peuvent se faire n’importe où moyennant une petite animation. Il en va de même pour le bricolage des armes et des gadgets. En effet, il suffit d’ouvrir son inventaire pour créer l’amélioration ou l’objet voulu. Bien évidemment, il vous faudra toujours dénicher les schémas et les éléments nécessaires à la fabrication de ces derniers. Une facilitation, certes moins crédible, mais qui permet de ne pas casser le rythme de l’exploration.

Les armes à feu sont bien entendu également présentes en jeu. On attendait d’ailleurs leur introduction au tournant, tellement leur rendu s’est avéré pitoyable dans Dead Island. Force est de constater que de gros progrès ont été faits. Celles-ci s’avèrent beaucoup plus agréables à utiliser, mais se montrent toujours bien trop fades. D’autant plus que leur diversité est extrêmement restreinte (un pistolet, un fusil à canon scié et deux fusils d’assaut). On les délaissera donc rapidement pour se concentrer sur les combats au corps à corps. Toutefois, certains ennemis et situations exigeront de faire parler la poudre.

Recyclage et tri sélectif


Ce qui frappe le plus dans Dying Light, c’est sa capacité à récupérer sans vergogne des éléments vus dans d’autres productions. Et c’est notamment Far Cry qui se fait copieusement « plagier ». On retrouve donc le même principe dans la gestion du soin, de la fouille des cadavres et dans la gestion du craft. Cela ne s’arrête pas là puisqu’on retrouve des éléments de gameplay très similaires à la production d’Ubisoft, comme par exemple le principe des camps à libérer. S’il s’agit ici de safe house, le principe reste le même : une fois ces habitations nettoyées des zombies y ayant élu domicile, ces zones font office de checkpoints et permettent à Crane de dormir pour passer la nuit ou de semer des poursuivants cadavériques.



Cette inspiration est même très clairement reprise dans la mise en scène. On retrouve ainsi la figure caricaturale du grand méchant. Raïs nous fait tout de suite penser à un certain Vaas ou Pagan Min, en certes moins charismatique. Si le scénario s’avère toujours aussi nanardesque, il a néanmoins le mérite d’être un poil plus sombre, mais aussi mieux mis en scène. Une réalisation reprenant encore une fois les ficelles scénaristiques utilisées dans Far Cry, certes efficace, mais feignante. On retrouvera donc les inévitables passages de délires psychotiques et les mêmes plans entre cinématique et gameplay. 

Autre élément pioché chez la concurence, votre personnage peut lancer une sorte d'impulsion radar (sur simple pression d'une touche) afin d'indiquer tous les objets prospectables dans la zone où il se trouve. Une capacité qui n'a donc rien a envier à l'amulette de Geralt de Riv. Si Dying Light reprend dans les grandes lignes la recette de l’open world selon Ubisoft, il faudra néanmoins se contenter uniquement de la ville de Haran comme terrain de jeu. Exit donc les balades dans les grands espaces. Cependant on se rend vite compte que la cité est bien assez grande et tortueuse pour se suffire à elle-même.

D’autant plus que la seconde partie du jeu vous permet d’en explorer le cœur historique. Cette deuxième carte propose un environnement urbain bien plus dense et compact. Essentiellement constitué de petites ruelles et de passages coupe-gorges débouchant sur de grandes places coloniales. Un tracé urbain construit par des marées d’immeubles de taille moyenne, au style historique. On se rend alors vite compte que la première partie du jeu n’était qu’un prétexte pour faire office de terrain d’initiation au parkour.

Hussard sur le toit


Si on le souhaite, il devient possible de ne plus jamais mettre un pied au sol. La progression de toit en toit se montre encore plus fluide, plus rapide et plus gratifiante. D’autant plus qu’à ce moment du jeu vous aurez probablement débloqué le grappin. Moyennant une utilisation soumise à un petit cooldown, celui-ci permet de vous transformer en un véritable Spiderman. La progression sur la carte devient tout de suite beaucoup plus rapide et agréable. Une alternative intéressante aux déplacements en véhicule souvent patauds et alourdis par des animations poussives (de montée et de descente) que l’on observe dans la quasi-totalité des jeux open world. Dans cette deuxième partie, vos adversaires humains se font également bien plus présents.



On remarque d’ailleurs rapidement que ces derniers s’avèrent plus dangereux que les morts-vivants. Les hommes de Raïs et les divers pillards ont en effet la capacité (comme Crane) d’esquiver et de parer les coups au corps à corps. Le moins que l’on puisse dire c’est que ces derniers ont presque du sang de moine Shaolin dans les veines. Il est effectivement parfois ridicule de constater que ces scélérats arrivent même à parer un lancer nourri de shurikens ou de couteaux. Ces adversaires utilisent également des armes à feu et vous contraindront à faire de même.

Le cœur urbain de la ville est aussi l’occasion d’observer le soin particulier apporté à l’ambiance générale du titre. Bien plus sombre et pesant en comparaison du cadre idyllique de Banoi, celle-ci sait se montrer plus oppressante et s’offre même le luxe de vous faire parfois tressaillir. Les endroits clos et mal éclairés sont souvent l’occasion de faire surgir des coureurs ou des zombies explosifs sortis de nulle part. Les décors intérieurs s’avèrent eux aussi repeints du sol au plafond de tripes et de sang entrecoupé par des montagnes de charnier.

Rigidité cadavérique

 
Si tout ceci était la partie lumineuse du constat, tout est loin d’être parfait. Il convient donc d’aborder la partie moins reluisante du jeu. Comme tous les jeux Techland, Dying Light souffre de moult problèmes techniques. Si Haran apparait comme chatoyante vue de loin, elle est en revanche beaucoup moins éblouissante de près. La faute à des textures grossières, baveuses et souvent réutilisées. Côté direction artistique, si la ville arrive à se dégager une petite personnalité à mi-chemin entre orient et occident, il est loin d’en être de même pour le reste du jeu. Comme pour Dead Island, la patte graphique s’avère insipide et très générique. On retrouve donc des personnages sans charisme particulier, des objets plus ou moins génériques et des morts-vivants pas franchement originaux dans leur plastique.

Si piocher des mécanismes de gameplay à droite à gauche s’apparente à une relative sécurité, il induit indéniablement un réel manque d’identité globale. Encore une fois, ce problème s’avère être le point faible des productions du studio polonais. On pestera également contre cette obstination aveugle à proposer des quêtes secondaires aussi inintéressantes et rébarbatives que celles présentes dans un MMORPG. Le problème de la difficulté se pose également : si l’aventure s’avère relativement dure en début de partie, il en est tout autrement une fois votre personnage monté en puissance. En effet, Crane devient très vite un samurai ultra agile aussi à l’aise sur les toits que pour raccourcir du macchabée à tour de bras. À terme, même les phases de nuit perdent en intensité et en difficulté.

La durée de vie s’avère plutôt correcte : comptez environ une bonne vingtaine d’heures pour conclure la trame principale et le double pour venir à bout de toutes les missions secondaires et défis. Notez qu’un mode multijoueur est également présent, permettant à un joueur d’investir une partie en tant que zombie. Le véritable talon d’Achille du titre se situe avant tout dans son optimisation technique perfectible. Le jeu est sorti avec une gestion catastrophique des processeurs multicœurs, assortie d’options graphiques buguées (tout particulièrement la distance d’affichage) entrainant des fuites de mémoire colossales. Il faut avoir une configuration en haut du panier pour outrepasser cette piètre finition. Même avec ça, on assiste à un framerate qui s’obstine à jouer au yoyo en permanence. Fort heureusement, Techland s’est montré réactif et a vite déployé des patchs en série visant à corriger ces graves problèmes. Après une fournée de quatre correctifs, le jeu s’avère effectivement plus stable mais on est encore très loin d’une optimisation aux petits oignons.  
 
Pour finir, il convient de glisser un gros tacle à Warner Bros. L’éditeur avait en effet promis aucun embargo sur son jeu pour la presse. Le géant du divertissement a bien tenu parole, mais seulement d’une main puisqu’avec son autre paluche, celui-ci a offert aux rédactions un beau gros doigt d’honneur. Rusé comme un renard neurasthénique, ce dernier a en effet envoyé des copies de test seulement le jour même de la parution du jeu. Bien évidemment, l’éditeur n’a pas oublié de proposer, bien avant la parution de son titre, moult versions de son jeu à divers Youtubers stars dociles. Un tel comportement aurait pu présager une stratégie de cache-misère destinée à un titre médiocre. Mais la manœuvre n’était manifestement pas là pour ça. Cette tactique puante et moribonde apparait bien plus comme une véritable provocation en forme de coup de semonce adressé à la presse.

Ce n'est évidement pas la première fois qu'un éditeur choisis une telle stratégie. Si pour l'instant tout cela s'apparente à du tatonnage de terrain, on peut parier (sans trop se mouiller) que ce type de pratiques est appellé à se répandre comme une turista fulgurante.
Dying Light est sans conteste la bonne surprise de ce début d’année. Les promesses tant vantées (parkour et cycle jour/nuit) lors de la promotion du jeu n’étaient finalement pas que du vent. Techland réussit donc à insuffler une bonne dose d’originalité et arrive à renouveler un genre qui commençait à sentir autant le faisandé que les cadavres animés qu’il met en scène. Bien que le jeu s'avère très générique sur certains aspects, il arrive néanmoins à proposer une fraicheur et une fluidité qui faisaient défaut à la franchise Dead Island. Deep Silver et Yager vont donc avoir fort à faire pour contrer cette proposition au printemps prochain.

SCREENSHOTS

 

Commentaires

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Tribune

choo.t
(20h34) choo.t LeGreg > Tout est dans le détail de qui sont "ils".
LeGreg
(20h05) LeGreg choo.t > ils ne se préparent pas à la réunification mais à l'empêcher. Dingue ça.
Thursday 10 April 2025
choo.t
(21h17) choo.t et taiwan qui s'y prépare : [pbs.org]
choo.t
(21h17) choo.t la réunification ? [theguardian.com]
choo.t
(21h16) choo.t LeGreg > Citation sur ? Le fait d'êtres deux entité indépendantes ? [en.wikipedia.org]
LeGreg
(21h06) LeGreg citation needed
choo.t
(20h57) choo.t Ouai mais ROC c'est une entité indépendante de la PRC, je pensais plutôt à la réunification qui se prépare.
LeGreg
(20h00) LeGreg C'est déjà le cas. Tu vois généralement la mention "product of the ROC" (Republic of China)
choo.t
(18h32) choo.t T'façon d'ici quelques années, mêmes les produits fabriqué à Taiwan porteront la mention "made in China", donc ce n'est que prendre un peu d'avance :p
choo.t
(18h31) choo.t CBL > Ah bha oui. C'est juste la boite qui est domicilié à Taiwan, mais les principales usines sont en Chine [en.wikipedia.org]
CBL
(18h26) CBL choo.t > Le dos de la console dit "made in China"
Latium
(18h21) Latium Mais c'est effectivement magnifique et j'aime bien pour le moment.
Latium
(18h20) Latium Je suis en train de le faire et pour le moment c'est un pur couloir sans aucun choix. Je ne m'attendais pas à ça (je n'ais pas fait le un)
Zaza le Nounours
(14h47) Zaza le Nounours Samax > pour TLOU2, faut dire que Sony fait à peine le minimum syndical sur la communication autour des sorties de leurs jeux sur PC.
Samax
(14h13) Samax Palido > Ah et si t'as une bonne config, le mod Ultra+ retravaille complètement les éclairages, les réflexions et encore plein d'autres trucs et rend le jeu absolument magnifique
Samax
(14h12) Samax Le vertueux > Ça doit être ça, j'en doute pas :D
Samax
(14h10) Samax souffle épique sur la fin, c'est appréciable. Et les choix que tu fais semblent avoir un vrai impact sur le monde. J'ai aussi été surpris du peu de bugs que j'ai rencontré globalement.
Samax
(14h09) Samax Palido > Enjoy! Je l'ai fini ya 3 jours et j'ai adoré. J'ai été surpris par la qualité de la mise en scène de l'histoire, et notamment de la fin. Après un développement aussi chaotique je m'attendais à une fin rushée mais pas du tout. Ya vraiment un
Le vertueux
(14h04) Le vertueux Samax > Les gens attendent surtout gran turismo et EA sports UFC 5 sur pc.
Samax
(14h03) Samax Pourtant ça avait fait pas mal de bruit à sa sortie sur PS4. Et les versions PC des exclus PS5 sont en général pas mal reçues d'habitude j'ai l'impression.
Samax
(14h01) Samax J'ai appris un peu par hasard que la version PC de Last of Us 2 est sortie la semaine dernière... C'est moi ou tout le monde s'en branle?
Le vertueux
(12h44) Le vertueux Palido > Tenir un commerce de kebabier à la viande de mutant dans la zone de stalker c'est ce que les joueurs veulent pouvoir faire, mais je ne crois pas que ça soit prévu dans la roadmap.
Palido
(12h27) Palido Mais je crois que j'ai de toutes façons trop envie d'y jouer pour attendre plus longtemps.
Palido
(12h27) Palido Le vertueux > C'est -un peu- dommage, mais au moins, ça me permettra de profiter du jeu pour ce qu'il est. Idéalement, j'aimerais bien GSC balance enfin la roadmap promise pour savoir à quel moment m'investir réellement dans le jeu.
Le vertueux
(12h14) Le vertueux C'est déjà bien qu'on ait ça, j'en espérais pas tant. Mais c'est vrai qu'on aurait aimé du gameplay emmergent, des easters eggs, du loot unique, et un aspect "métier" de chercheur d'artefacts.
Le vertueux
(12h13) Le vertueux Palido > Non, on en est au même point que le jeu de l'époque, un jeu linéaire mais dans un monde ouvert.
Palido
(11h43) Palido J'ai finalement l'impression d'avoir perdu mon temps. Est-ce qu'il vaut mieux jouer au jeu en suivant le marqueur de la quête principale ?
Palido
(11h43) Palido Genre des trucs uniques à découvrir (lieux, équipement, events) ? Y a un intérêt à revisiter des endroits ? Je viens de revisiter un lieu qui m'a fait consommer plus de ressources que ce que j'ai pu en gagner.
Palido
(11h42) Palido Ceci dit, j'essaie de ne pas rusher le jeu en espérant profiter de MAJ plus conséquentes. Pour gagner du temps, je me fais surtout des expéditions pour looter. Mais du coup : au delà de la visite champêtre radioactive, il y a un vrai intérêt à explorer ?
Palido
(11h42) Palido J'ai enfin pu (re)plonger dans Stalker 2. Grâce aux dernières MAJ, le jeu se lance, ne crashe plus, tourne mieux. Il reste quand même de sacrés bugs et je ne peux m'empêcher de penser qu'il manque un tas de trucs au jeu. Malgré tout, je suis à fond.
BeatKitano
(10h03) BeatKitano choo.t > pas sur que ça passe pas par mainland…
choo.t
(09h57) choo.t (04h22) C'est pas Taiwan pour le SteamDeck ? (Quanta Computer)
CBL
(04h22) CBL Le Steam Deck va aussi prendre cher
CBL
(04h21) CBL Ouais ça craint pour eux
BeatKitano
(03h09) BeatKitano CBL > Framework...
Wednesday 09 April 2025
Doc_Nimbus
(23h36) Doc_Nimbus Et pouf, juste à ce moment Trump repasse les droits de douane à 10% (sauf pour la chine, faut pas déconner). Quel troll ce Trump.
CBL
(20h24) CBL Ou quoi que ce soit fait par Razer
CBL
(20h23) CBL (18h30) D'un autre côté, faut avoir de l'argent à perdre pour acheter un PC portable Razer
BeatKitano
(18h30) BeatKitano Bon pas pour relancer la machine a troll mais l'article sur les ordi portables tombe plutot mal [techspot.com] ;)
Tuesday 08 April 2025
CBL
(18h16) CBL On a même quelques benchmarks!
CBL
(18h16) CBL Ils ne l'ont jamais vendue mais ils ont produit quelques exemplaires
Laurent
(17h24) Laurent (16h53) qui n'a jamais existé qu'en photo
CBL
(16h53) CBL La fameuse Voodoo 5 6000
CBL
(16h52) CBL YoGi > oui !!! [images.hothardware.com]
BeatKitano
(16h32) BeatKitano Bots: [factornews.com]
toof
(11h38) toof Désolé, j’ai eu un petit agacement. C’est passé, pardon :)
toof
(11h27) toof on peut ignorer des gens, ok, mais on peut pas les empêcher de nous répondre, c’est dommage
toof
(11h27) toof Purée ça me démange mais j’ai bien saisi l’avertissement de CBL, mais le frostis, la, c’est son kif d’avoir le dernier mot et reformulant les trucs pour montrer qu’il a raison ?
YoGi
(08h01) YoGi Question bête, ca prend des bières de tps en tps les pandas d'ile de France ? Un peu comme les nocon, y'a un peu plus de 20 ans.
YoGi
(07h51) YoGi CBL > sauf erreur la voodoo 5 avait une alim externe
Monday 07 April 2025
Laurent
(21h56) Laurent (20h28) Je savais pas que Bungie développait Splatoon HD
BeatKitano
(21h06) BeatKitano Un truc avec un seul câble pour l’alimentation tout le reste caché par le câble management de la tour. Le truc ultra clean quoi.
BeatKitano
(21h04) BeatKitano D’ailleurs je pige vraiment pas pourquoi y’a pas un seul fabricant de case « boutique » qui a tenté de vendre des design avec câble management intégré pour l’io shield. Ca parait tellement évident que ça plairait aux enthousiastes
BeatKitano
(21h00) BeatKitano Et si les constructeurs de case sont malins y’a même moyen de rendre le truc élégant avec un plug 90 degrés à l’arrière et un seul câble lié à la tour.
BeatKitano
(20h34) BeatKitano CBL > C'est possible. Je veux dire vous foutez une brique entre la prise et le gpu pour éviter un gpu qui pèse 10 kg et fait trembler de peur la CM et puis ben voilà... pas besoin d'acheter une alim 3000W et avec une prise IEC320C13 c'est interchangeabl
CBL
(20h28) CBL (19h54) BeatKitano > y'avait pas un constructeur qui avait tenté le coup ?
BeatKitano
(20h28) BeatKitano Marathon: [youtube.com] Je trouve ça laid a crever.
Latium
(20h06) Latium Merci ça à marché, je peux de nouveau jouer sur ma TV.
BeatKitano
(19h55) BeatKitano C'est d'une tristesse de voir ce gachis d'énergie.
BeatKitano
(19h54) BeatKitano Ouais ou sinon on arrête le délire et on mets un cable d'alimentation direct au cul des gpu et on en parle plus hein..
Laurent
(19h29) Laurent (19h18) plus qu'à attendre les 6090... en espérant qu'ils forcent pas les constructeurs de PSU à changer de format de connecteurs aussi
BeatKitano
(19h20) BeatKitano rigole en pauvre.
CBL
(19h18) CBL Qui aurait pensé que passer 600W par des cables fins comme des allumettes pourait causer des problèmes?
CBL
(19h17) CBL [techspot.com]
Zaza le Nounours
(19h11) Zaza le Nounours Latium > j'ai DDU les derniers drivers et remis ceux de décembre sans avoir à passer en mode sans échec. A la limite tu télécharges le fichier d'install des pilotes et ensuite tu coupes le réseau le temps de faire la manip si tu veux être tranquille.
BeatKitano
(16h29) BeatKitano C'est de l’appât a Ian Malcom ces trucs.
BeatKitano
(16h27) BeatKitano LE TURFU: QUAKE IA mais moche et lent. Tout un programme [copilot.microsoft.com]
Samax
(16h11) Samax (15h35) J'ai plusieurs fois rollback mon pilote Nvidia via DDU sans passer en safe mode, j'ai eu aucun souci
Latium
(15h35) Latium Bonne vidéo je ne connaissais pas cette chaîne. C'est bien d'en parler.
Latium
(15h35) Latium Et le pire c'est que je n'arrive plus à passer en safe mode sur mon Windows 11 24H2, Du coup je peux pas DDU pour downgrader mon driver.
Latium
(15h33) Latium BeatKitano > Donc je ne suis pas le seul, j'ai effectivement ces problèmes de ports, de multi screen et de Gsync. Ca va vraiment mal Nvidia.
Samax
(15h09) Samax J'ai dû mal à comprendre ce qui peut motiver les gens à rester sur Windows 10 (hors contraintes matérielles évidemment)
Zaza le Nounours
(14h09) Zaza le Nounours ptitbgaz > c'est une grosse mise à jour de W10.
BeatKitano
(13h51) BeatKitano Du coup on troll comment sur nvidia maintenant que c'est la boite qui fait des drivers de merde ? [youtube.com]
ptitbgaz
(12h23) ptitbgaz Sinon question subsidiaire : windows me tanne pour passer à W11 et ça pourrait peut être m'aider à installer mon Pico 4. Y a pas de contre indication particulière ? ça garde les programmes ou faut tout réinstaller ?
ptitbgaz
(12h21) ptitbgaz SWO c'est un skin star wars de Asssassins creed ou plutôt de Uncharted ? Genre pas un open world dupliqué où on fait plein de choses sans intérêt ?
Mascouell
(08h25) Mascouell Big Apple > merci pour l'info. Quelqu'un les a essayés ? J'ai beaucoup aimé SWO, mais si c'est juste du more of the same, ça risque de faire léger.
Sunday 06 April 2025
Big Apple
(22h15) Big Apple Ya des promos sur les dlc pour SWO jusqu'à demain sur ubi
thedan
(19h32) thedan Zaza le Nounours > vi c 'est vraiment cool. Moi je kiffe
Zaza le Nounours
(17h40) Zaza le Nounours J'ai généralement rien contre les jeux narratifs, mais là c'était vriment laborieux à tout point de vue. Après je sais bien que je suis largement dans la minorité sur ce coup.
choo.t
(17h17) choo.t Zaza le Nounours > Arf dommage. Ouai côté gameplay y'a rien, côté propos/narration j'ai vraiment accroché, mais évidement c'est hautement subjectif.
Zaza le Nounours
(15h45) Zaza le Nounours Mendoza > mais oui ! Et puis maintenant qu'il est plus cassé de partout, ça doit être d'autant plus plaisant.
Zaza le Nounours
(15h44) Zaza le Nounours choo.t > ça m'a totalement déçu, j'ai vraiment pas été sensible du tout à quoi que ce soit qu'il avait à proposer et raconter.
choo.t
(15h21) choo.t En parlant de reco jeu, faites-vous 1000XRESIST, ça vaut le détour.
Mendoza
(15h10) Mendoza Star Wars Outlwas c'est bien cool à jouer. Belle ambiance, univers "original" sans jedis. Merci @Zaza Le Nounours de m'avoir incité à le tenter
Big Apple
(14h17) Big Apple Pencher le buste au début de la course et le redresser pour ralentir, je trouve ça très impressionnant de naturel.
BeatKitano
(12h45) BeatKitano Je serais déjà plus intéressé quand ça sera capable de se déplacer comme ça tout en faisant des actions utiles et rapides avec ses mains.
BeatKitano
(12h44) BeatKitano Honnêtement osef, ça a toujours des moignons pour mains et ça sert a rien. Mais a apparemment capturer des mouvements et les appliquer a une serie de moteur ça suffit a épater les gens pendants 10 ans...
Big Apple
(12h31) Big Apple pendant ce temps chez Boston dynamics : [youtube.com]
Laurent
(12h07) Laurent (11h00) aka "Chérie, ça va trancher 2"
BeatKitano
(11h00) BeatKitano Tron Ares, une merde avec Jared Leto mais avec potentiellement une bande son qui vaut le précédent [youtube.com]
BeatKitano
(08h33) BeatKitano D'autant plus que ça commence a parler de taxer les gafam en réponse aux US (bon ça fait effet d'annonce plus qu'autre chose mais on sait jamais).
BeatKitano
(08h30) BeatKitano CBL > Maintenant le truc qui peut atténuer c'est le Vietnam qui vient de se coucher et qui va probablement esquiver les droits de douanes (et comme apple a délocalisé pas mal la bas)... Mais pour nous je me fais pas d'illusions.
BeatKitano
(08h08) BeatKitano (05h43) le gars vient de wipe 3trillion et Apple a foiré son contrat avec Google et vient de perdre 20 milliards donc je pense pas me tromper.
CBL
(05h43) CBL BeatKitano > (05h41) ba c'est pas arrivé pendant Trump 1
Saturday 05 April 2025
Nayve
(22h17) Nayve Big Apple > C'est triste mais ma première reflexion fut "qu'est ce que c'est propre (aucune saleté)". Mais ouais ça semble bien triste.
BeatKitano
(22h10) BeatKitano Ouais mais fini koh lanta et autres tpmp. La Corée du Nord ça a du bon aussi.
Laurent
(21h24) Laurent (20h42) C'est un peu tristoune mais qu'est ce que c'est propre
Big Apple
(20h42) Big Apple Enjoy un monde sans pub ! [youtube.com]
Big Apple
(20h33) Big Apple Super cool, on aura l'impression d'être en Corée du Nord
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