ACTU
E3 : Premiers respawns dans Titanfall
Malgré nos espoirs les plus fous, Titanfall n’était pas jouable chez Electronic Arts. Il faut dire, le jeu a fait son petit effet en clôture de la conférence Microsoft, pourtant déjà bien fournie en gros jeux. Le premier jeu de Respawn Entertainement, fondé par les anciens d’Infinity Ward (les CoD Modern Warfare, ceux qui sont biens), était visible dans une présentation hands-off qui a tout de même permis de jauger les forces en présence.
Après nous avoir placé dans une salle bien sombre, deux développeurs ont pris la manette pour une présentation à deux joueurs sur deux écrans dans la même partie.
A la manière des Tribes, ou plus récemment de Brink, Titanfall est un FPS orienté multijoueur. Sur une map d’assez bonne taille, au level design bien pensé jouant beaucoup sur la verticalité, deux camps s’affrontent en capturant différentes positions stratégiques de la map, jusqu’à ce que leur score atteigne suffisamment de points pour gagner et atteindre un hélicoptère d’évacuation pour gagner encore plus de bonus.
Le feeling des armes a l’air très bon et il semble y en avoir un nombre suffisant pour satisfaire tous les types de joueurs. Les déplacements sont facilités par l’addition d’un jetpack permettant des doubles sauts ainsi que par la capacité de rebondir gentiment sur des surfaces verticales. On sent que le studio sait faire des FPS, et des bons. Mais ces combats déjà bien nerveux prennent une toute autre dimension grâce à l’ajout des Titan.
Ces mastodontes de métal et d’électronique se récupèrent grâce à la capture et l’occupation de certains lieux du niveau, permettant aux renforts aériens de les balancer à côté de vous. Une simple pression sur le D-Pad permet de commander son Titan à emporter, sans frites et sans coca. Un chronomètre s’enclenche alors avant de vous laisser en demander un autre. On grimpe dans ce véhicule de luxe et on peut ressentir tout la puissance de ses gros membres. Entre ses armes dévastatrices et ses pouvoirs de télékinésie, le Titan fait du dégât, et pas qu’un peu. Le revers de la médaille, c’est qu’il devient la cible privilégiée du camp adverse qui s’en donne à coeur joie.
On a également quelques actions faisables avec le Titan, comme retirer le pilote d’un Titan adverse pour le balancer telle une vulgaire brindille ou transporter un fantassin allié sur son épaule. En revanche, un adversaire peut également vous grimper dessus et bousiller toute votre électronique, vous forçant ainsi à vous éjecter. Là aussi, une simple pression sur le D-Pad suffit pour s’extraire de la carcasse, s’envoler pour retomber faire son petit bout de chemin à travers les lignes ennemies.
C’est peu dire que l’on a été emballés par cette présentation. Selon Vince Zampella, que l’on a brièvement croisé par la suite, le studio va tout faire pour tenter de préparer une version jouable pour la gamescom. Le jeu final est prévu lui pour 2014 sur PC, Xbox One et 360.
Après nous avoir placé dans une salle bien sombre, deux développeurs ont pris la manette pour une présentation à deux joueurs sur deux écrans dans la même partie.
A la manière des Tribes, ou plus récemment de Brink, Titanfall est un FPS orienté multijoueur. Sur une map d’assez bonne taille, au level design bien pensé jouant beaucoup sur la verticalité, deux camps s’affrontent en capturant différentes positions stratégiques de la map, jusqu’à ce que leur score atteigne suffisamment de points pour gagner et atteindre un hélicoptère d’évacuation pour gagner encore plus de bonus.
Le feeling des armes a l’air très bon et il semble y en avoir un nombre suffisant pour satisfaire tous les types de joueurs. Les déplacements sont facilités par l’addition d’un jetpack permettant des doubles sauts ainsi que par la capacité de rebondir gentiment sur des surfaces verticales. On sent que le studio sait faire des FPS, et des bons. Mais ces combats déjà bien nerveux prennent une toute autre dimension grâce à l’ajout des Titan.
Ces mastodontes de métal et d’électronique se récupèrent grâce à la capture et l’occupation de certains lieux du niveau, permettant aux renforts aériens de les balancer à côté de vous. Une simple pression sur le D-Pad permet de commander son Titan à emporter, sans frites et sans coca. Un chronomètre s’enclenche alors avant de vous laisser en demander un autre. On grimpe dans ce véhicule de luxe et on peut ressentir tout la puissance de ses gros membres. Entre ses armes dévastatrices et ses pouvoirs de télékinésie, le Titan fait du dégât, et pas qu’un peu. Le revers de la médaille, c’est qu’il devient la cible privilégiée du camp adverse qui s’en donne à coeur joie.
On a également quelques actions faisables avec le Titan, comme retirer le pilote d’un Titan adverse pour le balancer telle une vulgaire brindille ou transporter un fantassin allié sur son épaule. En revanche, un adversaire peut également vous grimper dessus et bousiller toute votre électronique, vous forçant ainsi à vous éjecter. Là aussi, une simple pression sur le D-Pad suffit pour s’extraire de la carcasse, s’envoler pour retomber faire son petit bout de chemin à travers les lignes ennemies.
C’est peu dire que l’on a été emballés par cette présentation. Selon Vince Zampella, que l’on a brièvement croisé par la suite, le studio va tout faire pour tenter de préparer une version jouable pour la gamescom. Le jeu final est prévu lui pour 2014 sur PC, Xbox One et 360.