ACTU
Sega : la crise, c'est plus fort que toi
L'année fiscale de Sega se termine, et pour résumer, ça ne va pas fort. Pas fort dans le sens "on va enregistrer une perte record de 7 miyards de Yens (soit 63 miyons de nos bons Euros tout de même) alors tenez les gars, voici des sabres, faites ce que vous avez à faire". C'est en gros ce qu'on retient des documents (ici et là) émis aujourd'hui par le groupe.
Du coup, la famille Sonic va devoir se serrer la ceinture si elle veut passer l'hiver, et les économies se feront en se concentrant sur les licences fortes (Sonic, bien sûr, mais aussi Football Manager, Total War et Aliens ; Gearbox, sans vouloir vous mettre la pression, vous avez peut-être la vie de l'éditeur entre vos mains), et en transformant en petit bois pour la cheminée tout le reste, licences existantes et jeux en développement. On n'est donc pas près de revoir des productions originales comme Bayonetta ou Vanquish, des titres relativement audacieux qui se sont globalement bien vautrés. Il va aussi de soi que pas mal de têtes vont tomber, Sega cherchant à réduire les coûts au maximum, et pour ça, rien de tel que de virer des cars entiers d'employés.
Même si Sega avait déjà perdu la bataille du hardware après la mort de la Dreamcast, on espère que cet éditeur mythique, qui n'a certes plus son aura d'antan, parviendra à se sortir de cette mauvaise passe.
Du coup, la famille Sonic va devoir se serrer la ceinture si elle veut passer l'hiver, et les économies se feront en se concentrant sur les licences fortes (Sonic, bien sûr, mais aussi Football Manager, Total War et Aliens ; Gearbox, sans vouloir vous mettre la pression, vous avez peut-être la vie de l'éditeur entre vos mains), et en transformant en petit bois pour la cheminée tout le reste, licences existantes et jeux en développement. On n'est donc pas près de revoir des productions originales comme Bayonetta ou Vanquish, des titres relativement audacieux qui se sont globalement bien vautrés. Il va aussi de soi que pas mal de têtes vont tomber, Sega cherchant à réduire les coûts au maximum, et pour ça, rien de tel que de virer des cars entiers d'employés.
Même si Sega avait déjà perdu la bataille du hardware après la mort de la Dreamcast, on espère que cet éditeur mythique, qui n'a certes plus son aura d'antan, parviendra à se sortir de cette mauvaise passe.