ACTU
E3 : On a joué avec nos boules sur Rock of Ages
par CBL,
email @CBL_Factor
Le deuxième titre Live Arcade (mais il sera aussi dispo sur le PSN et Steam) qui a retenu notre attention est Rock of Ages, le nouveau jeu des chiliens drogués de la ACE Team.
Dans la mythologie grecque, Sisyphe est condamné par les dieux à pousser éternellement un rocher en haut d'une colline mais le rocher finit toujours par rouler en bas de la vallée. Après avoir consommé quelques substances illicites, la ACE Team s'est dit que ce serait cool d'en faire un jeu.
Sisyphe va donc se venger des dieux grecs en défonçant leurs palais avec sa grosse boule. Mais ce ne sera qu'un début : après l'Antiquité, on visitera quatre autres époques/styles artistiques : Moyen-Age, Renaissance, Rococo, Goya (oui le peintre). Le design de l'époque grecque est déjà très allumé : on a l'impression de jouer sur une amphore peinte de l'époque avec des niveaux ocres, ors et noirs et des petits bonhommes uniquement visibles de profil. Le rendu est vraiment étonnant et renforcé l'aspect peinture vivant du jeu.
Le but de chaque niveau est de détruire la porte de son adversaire avant qu'il ne dégomme la sienne. Le jeu se passe en deux temps. On commence par acheter et placer ses défenses sur une carte assez linéaire pour protéger sa porte avec l'argent gagné durant le run précédent un peu comme dans un tower défense. On peut placer des vaches et des tours pour bloquer la boule ou mettre des catapultes pour essayer de tirer sur la boule et la faire dévier. D'autres options semblent disponibles mais elles n'étaient pas jouables dans la démo. Pendant ce temps, ses ouvriers reconstruisent la boule.
Dès qu'ils ont fini, on peut se lancer. On peut choisir la boule en pierre de base qui est gratuite ou des versions évoluées payantes comme une boule renforcée avec des clous en fer. Une fois lancé, on contrôle comme dans un Super Monkey Ball. Le but est d'arriver à la porte ennemie avec le plus de vitesse possible pour lui faire plein de dégâts. La boule est vraiment très lourde et on sent bien son poids quand on essaye de faire un virage un peu serré. Il faut largement anticiper sous peine de se vautrer. Il est possible de sauter histoire d'éviter vaguement les défenses ou de faire plus mal lors de l'impact final.
Si on tombe dans le vide, on perd de la vie et on revient sur le niveau. On perd aussi de la vie en cognant les défenses ennemies. Evidemment, il faut éviter de casser la boule avant d'atteindre la porte mais c'est un vrai bonheur de tout défoncer sur son passage. Pendant qu'on fait rouler sa boule, on voit dans une petite fenêtre l'ennemi rouler la sienne. On n'est pas forcé de réussir à casser la porte à la première tentative mais il faut le faire avant que l'ennemi ne casse sa porte. Il faut essayer aussi de rouler sur les troupes ennemies histoire de gagner des sous.
On n'est pas sûr que le concept tiendra la route sur la longueur mais en tout cas on a bien rigolé en testant le jeu. Entre le design allumé, le plaisir de casser des trucs et l'humour très présent, c'est du fun en barre. Il y a aussi des modes multi où deux joueurs s'affrontent en ligne ou en écran partagé. On peut soit faire la course dans une sortie de Skee ball géant soit s'affronter en défonçant la porte de l'autre comme en solo.
Dans la mythologie grecque, Sisyphe est condamné par les dieux à pousser éternellement un rocher en haut d'une colline mais le rocher finit toujours par rouler en bas de la vallée. Après avoir consommé quelques substances illicites, la ACE Team s'est dit que ce serait cool d'en faire un jeu.
Sisyphe va donc se venger des dieux grecs en défonçant leurs palais avec sa grosse boule. Mais ce ne sera qu'un début : après l'Antiquité, on visitera quatre autres époques/styles artistiques : Moyen-Age, Renaissance, Rococo, Goya (oui le peintre). Le design de l'époque grecque est déjà très allumé : on a l'impression de jouer sur une amphore peinte de l'époque avec des niveaux ocres, ors et noirs et des petits bonhommes uniquement visibles de profil. Le rendu est vraiment étonnant et renforcé l'aspect peinture vivant du jeu.
Le but de chaque niveau est de détruire la porte de son adversaire avant qu'il ne dégomme la sienne. Le jeu se passe en deux temps. On commence par acheter et placer ses défenses sur une carte assez linéaire pour protéger sa porte avec l'argent gagné durant le run précédent un peu comme dans un tower défense. On peut placer des vaches et des tours pour bloquer la boule ou mettre des catapultes pour essayer de tirer sur la boule et la faire dévier. D'autres options semblent disponibles mais elles n'étaient pas jouables dans la démo. Pendant ce temps, ses ouvriers reconstruisent la boule.
Dès qu'ils ont fini, on peut se lancer. On peut choisir la boule en pierre de base qui est gratuite ou des versions évoluées payantes comme une boule renforcée avec des clous en fer. Une fois lancé, on contrôle comme dans un Super Monkey Ball. Le but est d'arriver à la porte ennemie avec le plus de vitesse possible pour lui faire plein de dégâts. La boule est vraiment très lourde et on sent bien son poids quand on essaye de faire un virage un peu serré. Il faut largement anticiper sous peine de se vautrer. Il est possible de sauter histoire d'éviter vaguement les défenses ou de faire plus mal lors de l'impact final.
Si on tombe dans le vide, on perd de la vie et on revient sur le niveau. On perd aussi de la vie en cognant les défenses ennemies. Evidemment, il faut éviter de casser la boule avant d'atteindre la porte mais c'est un vrai bonheur de tout défoncer sur son passage. Pendant qu'on fait rouler sa boule, on voit dans une petite fenêtre l'ennemi rouler la sienne. On n'est pas forcé de réussir à casser la porte à la première tentative mais il faut le faire avant que l'ennemi ne casse sa porte. Il faut essayer aussi de rouler sur les troupes ennemies histoire de gagner des sous.
On n'est pas sûr que le concept tiendra la route sur la longueur mais en tout cas on a bien rigolé en testant le jeu. Entre le design allumé, le plaisir de casser des trucs et l'humour très présent, c'est du fun en barre. Il y a aussi des modes multi où deux joueurs s'affrontent en ligne ou en écran partagé. On peut soit faire la course dans une sortie de Skee ball géant soit s'affronter en défonçant la porte de l'autre comme en solo.