ACTU
Realtime Worlds au bord de la faillite
par CBL, d'après Kotaku
email @CBL_Factor
On ne va pas dire que c'est une surprise : le bide d'All Points Bulletin a mis Realtime Worlds dans la merde. Le studio aurait licencié 170 personnes dont 60 qui bossaient sur Project: MyWorld.
Le bureau US serait sur le point de fermer et il ne resterait qu'une cinquantaine de personnes qui maintiennent All Points Bulletin en vie. Un administrateur privé a été nommé pour trouver des investisseurs afin de renflouer le studio et d'éviter la faillite.
Pendant ce temps, un supposé ex-employé du studio a expliqué les raisons d'un tel échec. C'est à prendre au conditionnel mais ça semble tellement logique qu'on le croit. Selon lui, le principal problème vient du business model. Vendre un shoot avec abonnement alors qu'il y a plein d'autres shoots gratuits tient du suicide surtout après une bêta aussi merdique. Mettre l'accent sur la personnalisation du personnage n'était pas non plus une bonne idée. Ajoutez à cela les nombreux retards, les faiblesses du gameplay et le manque de direction créative et vous obtenez le résultat qu'on connait.
Tout cela est bien triste mais a un comme un air de déjà vu. Un studio monté par un ancien d'un studio légendaire, un jeu multi avec un système d'abonnement foireux, une direction créative changeante, un jeu mal fini au gameplay hésitant... Mais bien sur ! Ca nous rappelle l'affaire Hellgate : London. Et ils ont même un ultime point commun : EA était distributeur. Donc vous connaissez la suite logique : le studio va couler, les droits du jeu vont être rachetés pour devenir un MMO free-to-play et David Jones ira trouver un autre job. Pure coincidence : Bill Roper vient de quitter Cryptic qu'il avait rejoint après le naufrage de Flagship.
Le bureau US serait sur le point de fermer et il ne resterait qu'une cinquantaine de personnes qui maintiennent All Points Bulletin en vie. Un administrateur privé a été nommé pour trouver des investisseurs afin de renflouer le studio et d'éviter la faillite.
Pendant ce temps, un supposé ex-employé du studio a expliqué les raisons d'un tel échec. C'est à prendre au conditionnel mais ça semble tellement logique qu'on le croit. Selon lui, le principal problème vient du business model. Vendre un shoot avec abonnement alors qu'il y a plein d'autres shoots gratuits tient du suicide surtout après une bêta aussi merdique. Mettre l'accent sur la personnalisation du personnage n'était pas non plus une bonne idée. Ajoutez à cela les nombreux retards, les faiblesses du gameplay et le manque de direction créative et vous obtenez le résultat qu'on connait.
Tout cela est bien triste mais a un comme un air de déjà vu. Un studio monté par un ancien d'un studio légendaire, un jeu multi avec un système d'abonnement foireux, une direction créative changeante, un jeu mal fini au gameplay hésitant... Mais bien sur ! Ca nous rappelle l'affaire Hellgate : London. Et ils ont même un ultime point commun : EA était distributeur. Donc vous connaissez la suite logique : le studio va couler, les droits du jeu vont être rachetés pour devenir un MMO free-to-play et David Jones ira trouver un autre job. Pure coincidence : Bill Roper vient de quitter Cryptic qu'il avait rejoint après le naufrage de Flagship.