ACTU
Impressions : Brink
Impossible de toucher à Brink sur le salon cette année, mais le CEO de Splash Damage était là pour nous faire une petite démo live. Et ça valait le coup.
A titre de rappel, Brink nous propose de participer à un conflit social futuriste : CRS contre pauvres, entre quartiers riches d’Ark et ses bidonvilles.
La présentation a débuté par un petit tour dans l'aéroport d'Ark City. Aucun ennemi en vue, il s'agit de montrer le système S.M.A.R.T. : un bouton qui permet, suivant là où l'on regarde, de réaliser des actions contextuelles. Vous vous dirigez vers une barrière ? Une pression sur la touche, et votre personnage la saute avec souplesse. Vers un mur ? il va l'escalader. Un endroit dégagé ? Il effectuera une glissade. Cela risque de faire hurler les fans boutonneux, mais force est de constater qu’en jeu, ce parti pris fluidifie l’action – on se croirait parfois dans Mirror’s Edge.
Direction un champs de containers transformés en habitations crasseuses (ces salauds de pauvres ne respectent décidément rien) pour la seconde partie de la présentation : les forces de l’ordre doivent y récupérer un drone. L’occasion pour le développeur de jongler entre les différentes classes à la volée suivant les besoins (interroger un ennemi au tazer pour lui soutirer les infos, sécuriser un périmètre en posant des tourelles ou réparer une grue), et de nous montrer quelques gunfights bien pêchus – quand bien même la version présentée tournait sur console. L'ambiance est violente et crue (on peut même finir les ennemis au sol d'un coup de pied dans les parties), mais pas dénuée d'humour, notamment dans les dialogues.
Le jeu a un style graphique véritablement particulier, entre les environnements colorés et détaillés et les personnages cartoonisants qui semblent tout droit sortis de Team Fortress 2 (leur silhouette a d’ailleurs son importance, puisque la carrure influence la vitesse et la résistance des personnages). C’est déjà sympa en screenshots, mais c’est véritablement magnifique en mouvement. Inutile de dire que l'on suivra le jeu de très près à l'avenir.
A titre de rappel, Brink nous propose de participer à un conflit social futuriste : CRS contre pauvres, entre quartiers riches d’Ark et ses bidonvilles.
La présentation a débuté par un petit tour dans l'aéroport d'Ark City. Aucun ennemi en vue, il s'agit de montrer le système S.M.A.R.T. : un bouton qui permet, suivant là où l'on regarde, de réaliser des actions contextuelles. Vous vous dirigez vers une barrière ? Une pression sur la touche, et votre personnage la saute avec souplesse. Vers un mur ? il va l'escalader. Un endroit dégagé ? Il effectuera une glissade. Cela risque de faire hurler les fans boutonneux, mais force est de constater qu’en jeu, ce parti pris fluidifie l’action – on se croirait parfois dans Mirror’s Edge.
Direction un champs de containers transformés en habitations crasseuses (ces salauds de pauvres ne respectent décidément rien) pour la seconde partie de la présentation : les forces de l’ordre doivent y récupérer un drone. L’occasion pour le développeur de jongler entre les différentes classes à la volée suivant les besoins (interroger un ennemi au tazer pour lui soutirer les infos, sécuriser un périmètre en posant des tourelles ou réparer une grue), et de nous montrer quelques gunfights bien pêchus – quand bien même la version présentée tournait sur console. L'ambiance est violente et crue (on peut même finir les ennemis au sol d'un coup de pied dans les parties), mais pas dénuée d'humour, notamment dans les dialogues.
Le jeu a un style graphique véritablement particulier, entre les environnements colorés et détaillés et les personnages cartoonisants qui semblent tout droit sortis de Team Fortress 2 (leur silhouette a d’ailleurs son importance, puisque la carrure influence la vitesse et la résistance des personnages). C’est déjà sympa en screenshots, mais c’est véritablement magnifique en mouvement. Inutile de dire que l'on suivra le jeu de très près à l'avenir.