ACTU
GC : [MàJ] Bayonetta, la fleur au fusil
Suite et fin de nos aventures chez les fous dangereux de Platinum Games, avec la présentation de Bayonetta, leur autre titre prévu lui sur consoles next-gen. Plus discret que Madworld, c'est la première fois que nous avons pu le voir en mouvements, et nous avons pu découvrir comment les anciens de Devil May Cry avaient l'intention de pousser le genre du Stylish action game encore plus loin.
Mise à jour : Ajout des images officielles.
Bayonetta est le nom de l'héroïne, une sorcière filiforme toute de noir et de cuir vêtue, avec des petites lunettes qui lui donnent un faux air sage qui ne trompe personne. Elle porte sur elle quatre flingues, un dans chaque main et un sur chaque cheville, et ceux-ci ne seront pas de trop pour affronter les ennemis, ceux que nous avons pu voir ayant l'apparence de gros anges belliqueux.
Bien sûr, qui dit sorcière dit pouvoirs magiques, et de ce côté-là on nage encore en plein délire : Bayonetta se sert en effet de ses cheveux, invoquant un immense poing ou une immense botte faits en cheveux pour tataner le faciès des vilains. Au fur et à mesure des combats, une barre se remplit et une fois pleine, on peut déclencher un finishing move, qui prenait ici l'apparence d'une vierge de fer dans laquelle on jetait un ennemi qui finissait bien évidemment broyé. Autre possibilité : invoquer une guillotine, prendre un ennemi, lui botter le cul jusqu'à ce qu'il accepte de poser sa tête et de se la faire trancher. Ces japonais sont vraiment de grands malades.
Au rayon de l'arsenal, on pourra récupérer les armes que les ennemis laissent tomber et s'en servir quelques instants. Les flingues de bases pourront également être remplacés : ceux en mains ont été troqués contre des katanas, alors que des fusils à pompe se sont substitués à ceux des pieds. Tout va bien. Il sera possible de configurer deux sets d'armes, et de switcher à volonté en cours de jeu sans avoir à passer par un quelconque menu. Ces armes pourront être upgradées en cours de jeu en récupérant les anneaux (eh, on est chez Sega après tout) qui parsèment les niveaux.
Une fois les quelques monstres de base évincés, un boss assez énorme est entré en scène, et tout gros qu'il était, il ne s'agissait que d'un boss de mi-niveau. Au fur et à mesure qu'il se prenait des coups dans la tronche, son armure à visage de poupon se cassait et révélait un monstre visqueux et peu attirant. Une fois encore, Bayonetta s'est servie de ses cheveux pour l'achever, invoquant un énorme monstre ressemblant vaguement à un chien pour le bouffer.
Le deuxième niveau que nous avons pu découvrir se déroulait sur un clocher d'horloge en chute libre. Bayonetta était accompagnée par une autre sorcière, elle habillée en rouge, mais interrogés à son sujet (et éventuellement sur la présence d'un mode coop), les gens de Sega et Platinum Games n'ont rien voulu dévoiler.
Graphiquement, le jeu se tient vraiment bien. Les décors et leur architecture gothique font immanquablement penser à Devil May Cry, mais côté prestance, Bayonetta fait passer Dante pour un vrai clochard : qu'elle se serve de ses armes de poing ou de pieds, elle prend des poses complètement folles et pleines de classe. En revanche, les combats auxquels nous avons pu assister m'ont semblé finalement moins violents, et accessoirement moins difficiles que ceux de Devil May Cry. On attendra quand même de pouvoir s'essayer à des versions plus avancées - et qui ne seront pas jouées en mode easy pour les besoins de la démo.
Mise à jour : Ajout des images officielles.
Bayonetta est le nom de l'héroïne, une sorcière filiforme toute de noir et de cuir vêtue, avec des petites lunettes qui lui donnent un faux air sage qui ne trompe personne. Elle porte sur elle quatre flingues, un dans chaque main et un sur chaque cheville, et ceux-ci ne seront pas de trop pour affronter les ennemis, ceux que nous avons pu voir ayant l'apparence de gros anges belliqueux.
Bien sûr, qui dit sorcière dit pouvoirs magiques, et de ce côté-là on nage encore en plein délire : Bayonetta se sert en effet de ses cheveux, invoquant un immense poing ou une immense botte faits en cheveux pour tataner le faciès des vilains. Au fur et à mesure des combats, une barre se remplit et une fois pleine, on peut déclencher un finishing move, qui prenait ici l'apparence d'une vierge de fer dans laquelle on jetait un ennemi qui finissait bien évidemment broyé. Autre possibilité : invoquer une guillotine, prendre un ennemi, lui botter le cul jusqu'à ce qu'il accepte de poser sa tête et de se la faire trancher. Ces japonais sont vraiment de grands malades.
Au rayon de l'arsenal, on pourra récupérer les armes que les ennemis laissent tomber et s'en servir quelques instants. Les flingues de bases pourront également être remplacés : ceux en mains ont été troqués contre des katanas, alors que des fusils à pompe se sont substitués à ceux des pieds. Tout va bien. Il sera possible de configurer deux sets d'armes, et de switcher à volonté en cours de jeu sans avoir à passer par un quelconque menu. Ces armes pourront être upgradées en cours de jeu en récupérant les anneaux (eh, on est chez Sega après tout) qui parsèment les niveaux.
Une fois les quelques monstres de base évincés, un boss assez énorme est entré en scène, et tout gros qu'il était, il ne s'agissait que d'un boss de mi-niveau. Au fur et à mesure qu'il se prenait des coups dans la tronche, son armure à visage de poupon se cassait et révélait un monstre visqueux et peu attirant. Une fois encore, Bayonetta s'est servie de ses cheveux pour l'achever, invoquant un énorme monstre ressemblant vaguement à un chien pour le bouffer.
Le deuxième niveau que nous avons pu découvrir se déroulait sur un clocher d'horloge en chute libre. Bayonetta était accompagnée par une autre sorcière, elle habillée en rouge, mais interrogés à son sujet (et éventuellement sur la présence d'un mode coop), les gens de Sega et Platinum Games n'ont rien voulu dévoiler.
Graphiquement, le jeu se tient vraiment bien. Les décors et leur architecture gothique font immanquablement penser à Devil May Cry, mais côté prestance, Bayonetta fait passer Dante pour un vrai clochard : qu'elle se serve de ses armes de poing ou de pieds, elle prend des poses complètement folles et pleines de classe. En revanche, les combats auxquels nous avons pu assister m'ont semblé finalement moins violents, et accessoirement moins difficiles que ceux de Devil May Cry. On attendra quand même de pouvoir s'essayer à des versions plus avancées - et qui ne seront pas jouées en mode easy pour les besoins de la démo.