ACTU
GC : Street Fighter IV, on y a joué aussi
par CBL,
email @CBL_Factor
Dire qu'on s'est précipité sur le stand Capcom comme le premier fanboy venu pour tester Street Fighter 4 est un doux euphémisme.
La version 360 était présentée. Ce petit détail est important car ça a un peu gâché le plaisir de la découverte : la croix de la manette officielle n'est vraiment pas faite pour les jeux de baston. J'aurais vendu Shua pour une Dualshock voir une manettte SNES. Mais après quelques matchs, on finit par s'y faire et on se régale.
Vous savez jouer à Street Fighter 2/3 ? Vous savez déjà jouer à Street Fighter 4. Chassez le quart de cercle et il revient en Hurricane Kick. On a commencé par un classique Ryu/Ken et c'était bluffant. Le jeu est aussi rapide que Street Fighter 2 Turbo et répond à la perfection. Les combos sortent naturellement et les collisions m'ont semblé cohérentes. C'est bien simple : on en oublie presque que c'est un jeu en 3D.
Après avoir plié Shua et Zaza (qui a eu le courage de jouer au stick analogique !), j'ai fait quelques matchs contre un allemand afin de tester quelques perso. Ca m'a fait plaisir de pouvoir rejouer avec Blanka qui a été mis de côté pendant des années. Il fait un peu moins monstre qu'avant et plus "humain mutant" un peu à la Hulk (d'ailleurs ils ont le même short en jean). Son Cannon Ball est un peu bizarre mais son électricité fait toujours aussi mal. Guile lui n'a pas beaucoup changé. On retrouve le perso le plus énervant créé par Capcom qui attend tranquillement que l'adversaire saute pour lui balancer un flash kick et qui fait des double balayettes meurtrières. Balrog est égal à lui-même et Dhalsim m'a semblé plus rapide qu'auparavant.
Abel semble rigolo à jouer. Il a un style assez indescriptible (la french touch ?) mais il est rapide et cogne fort. C'est dommage que Capcom n'ait pas inclus de "move list" dans les menus histoire de savoir comment sortir le Marseilles Rolling. Le catcheur mexicain semble compliqué à maîtriser mais il est trippant en mouvement. Rufus semble avoir abusé de la choucroute et de la bière locale. Tous ces petits nouveaux ne changent pas radicalement la façon de jouer mais apporte un peu de fraîcheur à l'ensemble comme l'avaient fait Cammy et les autre dans Super Street Fighter 2. Par contre, ce jeu manque désespérément de filles.
Le jeu est encore plus beau en vrai qu'en vidéo. Capcom s'est vraiment fait plaisir pour modéliser les décors et les personnages et surtout ils ont passé beaucoup de temps sur les animations. Elles ne sont pas aussi chouettes que celles de Third Strike mais ce n'est pas loin. Petite déception : on n'a pas pu entendre la musique et les bruitages. Avec Street Fighter 4, Capcom veut gagner sur les deux tableaux. Ils veulent d'abord faire plaisir aux fans de Street Fighter, pas forcément ceux qui passent encore trois heures par jour sur un des jeux de la série mais plus ceux qui ont passé leur jeunesse sur les épisodes SNES. Ensuite, ils veulent conquérir un nouveau public. Pour cela, ils ont peaufiné un gameplay bien moins technique que Virtua Fighter 5 ou que Soul Calibur 4 mais qui offre une marge de progression énorme.
La version 360 était présentée. Ce petit détail est important car ça a un peu gâché le plaisir de la découverte : la croix de la manette officielle n'est vraiment pas faite pour les jeux de baston. J'aurais vendu Shua pour une Dualshock voir une manettte SNES. Mais après quelques matchs, on finit par s'y faire et on se régale.
Vous savez jouer à Street Fighter 2/3 ? Vous savez déjà jouer à Street Fighter 4. Chassez le quart de cercle et il revient en Hurricane Kick. On a commencé par un classique Ryu/Ken et c'était bluffant. Le jeu est aussi rapide que Street Fighter 2 Turbo et répond à la perfection. Les combos sortent naturellement et les collisions m'ont semblé cohérentes. C'est bien simple : on en oublie presque que c'est un jeu en 3D.
Après avoir plié Shua et Zaza (qui a eu le courage de jouer au stick analogique !), j'ai fait quelques matchs contre un allemand afin de tester quelques perso. Ca m'a fait plaisir de pouvoir rejouer avec Blanka qui a été mis de côté pendant des années. Il fait un peu moins monstre qu'avant et plus "humain mutant" un peu à la Hulk (d'ailleurs ils ont le même short en jean). Son Cannon Ball est un peu bizarre mais son électricité fait toujours aussi mal. Guile lui n'a pas beaucoup changé. On retrouve le perso le plus énervant créé par Capcom qui attend tranquillement que l'adversaire saute pour lui balancer un flash kick et qui fait des double balayettes meurtrières. Balrog est égal à lui-même et Dhalsim m'a semblé plus rapide qu'auparavant.
Abel semble rigolo à jouer. Il a un style assez indescriptible (la french touch ?) mais il est rapide et cogne fort. C'est dommage que Capcom n'ait pas inclus de "move list" dans les menus histoire de savoir comment sortir le Marseilles Rolling. Le catcheur mexicain semble compliqué à maîtriser mais il est trippant en mouvement. Rufus semble avoir abusé de la choucroute et de la bière locale. Tous ces petits nouveaux ne changent pas radicalement la façon de jouer mais apporte un peu de fraîcheur à l'ensemble comme l'avaient fait Cammy et les autre dans Super Street Fighter 2. Par contre, ce jeu manque désespérément de filles.
Le jeu est encore plus beau en vrai qu'en vidéo. Capcom s'est vraiment fait plaisir pour modéliser les décors et les personnages et surtout ils ont passé beaucoup de temps sur les animations. Elles ne sont pas aussi chouettes que celles de Third Strike mais ce n'est pas loin. Petite déception : on n'a pas pu entendre la musique et les bruitages. Avec Street Fighter 4, Capcom veut gagner sur les deux tableaux. Ils veulent d'abord faire plaisir aux fans de Street Fighter, pas forcément ceux qui passent encore trois heures par jour sur un des jeux de la série mais plus ceux qui ont passé leur jeunesse sur les épisodes SNES. Ensuite, ils veulent conquérir un nouveau public. Pour cela, ils ont peaufiné un gameplay bien moins technique que Virtua Fighter 5 ou que Soul Calibur 4 mais qui offre une marge de progression énorme.