ACTU
Marc Ecko sous pression
La tourmente actuelle anti-jeux vidéo continue aux États-Unis, avec cette fois l'Association des Psychologues Americans (APA) qui a eu envie de donner son avis, bien que personne ne le lui ait demandé. « Jouer à des jeux vidéo implique de pratiquer, répéter et d'être récompensé pour avoir commis de nombreux actes violents, qui peuvent augmenter la capacité d'apprentissage. Mais cela peut aussi aboutir à des expériences plus réalistes qui peuvent potentiellement augmenter les comportements violents. » Précautions de langage retirées on aboutit à la même : les jeux rendent violents, conclusion qui semble pourtant être contredite par .
Et c'est dans une plus large mesure qu'on en vient à Marc Ecko's Getting Up : Contents Under Pressure, ce jeu qui au départ tout ce qu'il y a de politiquement correct (un jeune graffeur qui par ses tags cherche à devenir le leader d'une révolution contre le gouvernement tyrannique de la ville de New Radius). Hélas pour Marc Ecko et Atari, le concept d'un jeu basé sur la glorification du graffiti hérisse le poil d'un grand nombre d'associations conservatrices américaines pour la défense de la beauté des villes, qui craignent une contagion de ce comportement jugé antisocial et réclament le classement de ce jeu en AO (+ 18 ans). Ce à quoi Atari rétorque que dans son jeu, le personnage n'utilise aucune arme à feu.
On aurait pu en rester là si la réalité n'avait pas rattrapé Marc Ecko, le plongeant dans la position du personnage de son jeu : Graffeur, Artiste reconnu, il se voit interdire de participer à une Free-party par le maire de New-York au cours de laquelle il devait réaliser une fresque murale pour une association pour la jeunesse. Ce qui ne devrait pas aider Atari dans la défense de son jeu.
Et c'est dans une plus large mesure qu'on en vient à Marc Ecko's Getting Up : Contents Under Pressure, ce jeu qui au départ tout ce qu'il y a de politiquement correct (un jeune graffeur qui par ses tags cherche à devenir le leader d'une révolution contre le gouvernement tyrannique de la ville de New Radius). Hélas pour Marc Ecko et Atari, le concept d'un jeu basé sur la glorification du graffiti hérisse le poil d'un grand nombre d'associations conservatrices américaines pour la défense de la beauté des villes, qui craignent une contagion de ce comportement jugé antisocial et réclament le classement de ce jeu en AO (+ 18 ans). Ce à quoi Atari rétorque que dans son jeu, le personnage n'utilise aucune arme à feu.
On aurait pu en rester là si la réalité n'avait pas rattrapé Marc Ecko, le plongeant dans la position du personnage de son jeu : Graffeur, Artiste reconnu, il se voit interdire de participer à une Free-party par le maire de New-York au cours de laquelle il devait réaliser une fresque murale pour une association pour la jeunesse. Ce qui ne devrait pas aider Atari dans la défense de son jeu.