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ARTICLE

Les règles du jeu : violences symboliques et commerciales dans le jeu vidéo.

kimo par kimo,  email
 
Préface de Niko - Je voudrais pas vous faire flipper, mais le texte suivant est long, alors prenez place dans votre fauteuil préféré devant la cheminée, servez-vous un Brandy et détendez-vous un peu. Sérieusement, nous n'avons pas l'habitude de publier des textes qui ne soient pas liés d'une façon ou d'une autre à l'actu sur factor, mais nous avons pensé que cette réflexion de Kimo pourrait vous intéresser et ouvrir un débat intéressant dans les commentaires.
Notes préliminaires :

Ce texte constitue une sorte de feuille de route ou d’introduction à un projet bien plus long en train de prendre forme.

Il part d’une proposition de définition du jeu vidéo pour ce qu’il a à la fois de particulier et de commun aux autres modes de représentation. D’un côté, son positionnement exceptionnel et inédit par rapport à l’espace et à l'image, puisqu'on agit à l'intérieur de celle-ci. De l’autre, les modifications que cela apporte aux rapports de pouvoir intrinsèques mis en place entre une représentation et son public.

Le travail publié ici permet de rendre visible ce qu’il faudra ensuite décrire de façon plus complète sur des exemples particuliers. Il n'a donc pas la prétention de répondre de tous les points soulevés ou de donner une vision exhaustive du sujet, mais simplement d'articuler une première ligne de pensée qui doit, et est en train, d’être approfondie.

La suite du texte existe déjà en partie et s’intéresse pour l’instant particulièrement à l’open world (Assassin’s Creed et Far Cry 3) et au survival horror. Elle sera peut-être proposée sur le site par la suite.

Le jeu vidéo, image et espace.


On a souvent eu intuitivement tendance à assimiler le jeu vidéo au cinéma. Si la comparaison tient à première vue la route (leur modernité, leur popularité, la présence d’un écran, d’un récit et de vues animées) ces éléments communs sont relativement superficiels et relèvent finalement plus d’une cinématographisation de certains aspects du jeu vidéo que de son essence propre. Elle s’attache à ce qu’il y a d’accessoire dans sa pratique, soit le plus souvent la mise en scène du récit par des cutscenes ou des scripts[1]. Il s’illustre sous cette lutte des formes[2] un certain rapport du jeu au joueur qu’il déplace comme spectateur et qui montre bien les limites de cette comparaison.
 
À quelle question fondamentale se confronte donc le jeu vidéo ? On peut faire une première hypothèse qui tente de placer l’espace virtuel au cœur de sa définition et qu’on formule ainsi : comment habiter un espace de représentation ? C’est-à-dire comment être dans une image ? Que toute représentation soit le lieu d’un rapport de force idéologique, esthétique et même intime, aucun autre medium ne le met en jeu avec plus de littéralité que le jeu vidéo, qui propose au joueur de la traverser sous une forme virtuelle et d’en sortir vivant. La question se précise alors et elle pourrait finir par prendre une forme un peu plus symbolique et plus apte à rendre compte de ce rapport de violence : comment survivre à un espace imaginaire dans lequel on est projeté ?[3]  Ça ne signifie pas que chaque jeu est le lieu d’un développement théorique de l’image puisqu’il a au contraire, comme toute forme populaire, profondément intériorisé ces questions fondamentales.
Elles réapparaissent cependant de façon plus ou moins consciente au fur et à mesure que le medium se développe et élabore sa grammaire, ses genres et ses codes.
 
Car l’évolution de ses modèles économiques et de ses techniques[4] a ouvert au jeu vidéo des possibilités immenses. Cette richesse créative lui a permis de s’émanciper de son caractère avant tout commercial et de commencer un travail esthétique mais aussi théorique sur le virtuel. Chaque réponse concrète apportée par des jeux de plus en plus complexes est aussi une mise en forme de plus en plus précise de la question de nos désirs d’interaction au monde des représentations. Le jeu vidéo est devenu ainsi presque malgré lui un passionnant outil d’interrogation sur notre rapport aux images et sur ce que signifie s’y confronter et y agir.

L’engagement esthétique.

Comme tout média grand public, le jeu fabrique une image du réel et participe à la formation de nos normes de représentation. Lui nier cette responsabilité, c’est refuser de reconnaitre l’influence idéologique nécessairement liée à tout objet culturel[5]. La réussite de licence comme Call of Duty ou Battlefield par exemple, ne peut être totalement détachée de la politique militariste américaine qui a rejoint la tradition du fps avec succès. Le simple fait que les combats mis en scène soient largement inspirés par les images de conflits réels montre bien l’intrication déjà complexe du jeu avec le système de représentation de nos sociétés[6]. Il nous dit bien quelque chose du monde et de la façon dont on a choisi de le montrer. Comme tout dispositif de représentation, il façonne ainsi non seulement une image du réel, mais forme aussi le regard de son public. Cela ne signifie pas bien sûr qu’il faut crier au complot ou au propagandisme idéologique. Ce serait cruellement sous-estimer la complexité et la part d’impensé qui participe à tout processus de fabrication d’images. Les normes de représentation s’imposent en effet de façon structurelle, en fonction du marché, de l’ambition des créateurs et surtout des réussites ou des échecs publics et commerciaux des différents projets. Il y a fort à parier que lorsque les jeux de guerre moderne ne se vendront plus, on nous vendra autre chose. On ne peut donc trancher résolument qui des joueurs ou des développeurs ont produit cette fascination pour une violence au rendu réaliste qui constitue la base de nombreux jeux[7]. Dans tous les cas, il est important de bien comprendre qu’on ne consomme pas un objet sans adhérer en partie aux valeurs qu’il représente. Ce qui n’empêche pas de le faire avec plus ou moins de convictions et parfois même par pur intérêt ludique ou critique. Reste que dans les faits on a acheté ou essayé et donc, à un moment ou à un autre, bien joué le jeu.


 
Or, dans le cas du jeu vidéo, ce rôle est plus important que celui de simple spectateur. C’est bien ce qu’une branche du survival horror ou un jeu comme The Walking Dead mettent à jour : nos actes sont aussi en jeu. Bien sûr, ils sont médiatisés eux-aussi, et torturer quelqu’un dans GTA 5, ce n’est pas le torturer dans le réel. Cet argument ne peut toutefois pas tout justifier, surtout quand un jeu touche un large public et refuse de remettre en perspective cette violence par la forme ou la narration[8]. Forcer le joueur à réaliser certaines actions, même s’il ne le veut pas, avec pour seule excuse ou justification qu’il n’y a pas de conséquences réelles reste irresponsable. Car la simple médiatisation du virtuel ne suffit pas à l’absorber quand la violence est exposée de façon réaliste[9]. Non pas que le joueur va imiter ce qu’il voit, mais il va devoir prendre en charge cette violence malgré parfois quelques scrupules. Après tout, il a payé son jeu et il ne ressent pas nécessairement l’influence de ses actes sur son réel[10]. Que des mécanismes de jeu associent l’acte violent à des enjeux de gameplay, c’est-à-dire à nos désirs de joueurs, ne signifie toutefois pas que ceux-ci seraient à interdire, mais la question de savoir comment cette violence nous est imposée ou proposée ne doit pas être ignorée.

Violence du temps.

Pour le dire autrement, on ne peut réduire la question à : « a-t-on besoin de tuer des gens pour s’amuser ? », car c’est passer en partie à côté du problème. Il y a même une forme d’hypocrisie à ce que la vigilance excessive dont on fait généralement preuve vis-à-vis de cette violence s’intéresse avant tout à celle sciemment représentée et non pas à celle structurelle, qui régit notre rapport au jeu par sa forme plutôt que par son contenu. Cette dernière est certes symbolique, mais d’autant plus effective qu’elle est induite par nos rapport aux objets dans le réel et non pas dans l’univers qu’ils mettent en place. Elle n’agit alors plus dans une fiction, mais directement sur le joueur. Ce qu’il y a de violent n’est donc pas tant le fait de produire de la violence dans le jeu, mais plutôt la façon dont on nous fait produire une action, violente ou non.


 
C’est depuis cette violence structurelle et souvent informelle qu’on peut commencer à parler de dépendance, en tant que le jeu devient un outil pour capturer et réduire notre désir à des fins qui n’ont rien à voir avec les enjeux que son scénario ou son gameplay nous présent. Pour cela, il utilise toute la panoplie propre à l’image (le spectaculaire par exemple, d’où son goût pour le cinématographique) mais aussi à des mécanismes de jeu au sens large (ce qui comprend celui d’addiction des jeux d’argent). Il crée ainsi du désir et des affects mais se détache de toute implication politique en se cachant derrière le prétexte du divertissement. Or, la fabrique de désir par le divertissement est justement une question éminemment politique puisqu’elle permet de diriger, de faire faire par le consentement plutôt que par l’argument d’autorité. Et qu’est-ce que le jeu vidéo sinon un faire faire sans agir, l’acte se situant hors du réel ? Le chiffon rouge que ses détracteurs agitent n’est-il pas celui du joueur asocial et finalement déconnecté du réel et donc des violences qu’on lui y fait subir, ou qu’il y produit lui-même ?
 
En tant que joueur, il est difficile de réfuter totalement cette affirmation. Nous nous fixons tous des limites dans notre consommation du virtuel, mais ces limites sont difficiles à tenir car le jeu est par essence addictif. Cette question ne devient pourtant spécifiquement problématique que lorsque le jeu se présente comme un rapport a-politique à la représentation. C’est-à-dire lorsqu’il se place volontairement du côté du divertissement inoffensif et refuse de ce fait de problématiser le rapport de nous, joueur dans le réel, au jeu en tant qu’objet de la représentation. Les raisons du refus de responsabilisation de la part des développeurs[11] sont assez évidentes : un consommateur heureux consomme plus et offrir une expérience sans frustration et à priori sans idéologie[12], c’est l’espoir de vendre à un maximum de clients potentiels.

 
La baisse drastique de la difficulté des titres grand public, censée convenir à tous, permet par exemple à chacun de jouer avec le moins de risque de frustration et donc, le moins de réflexion possible sur le sens de ses actes ou l’intérêt de continuer à jouer. En effet, tant qu’on gagne, on joue. C'est quand on perd que la réalité surgit et reprend ses droits. Le but est alors d’occuper le joueur tout en associant des affects de plaisir à des objectifs sans intérêts. On le place ainsi hors du temps en créant un lieu sans pensée dans lequel il ne ressent que le plaisir de progresser. Du divertissement on passe ainsi quasiment à la diversion. C’est alors que le rapport au temps devient un rapport de violence - d’autant qu’un jeu en exige généralement beaucoup - sans pour autant être ressenti comme tel par le joueur à qui on donne les indices d’une gratification qui, contrairement aux jeux d’argent, ne vaut presque rien (et ne coûte donc presque rien à son auteur) en dehors d’une satisfaction symbolique. Si un certain nombre de ces mécanismes sont propres au jeu vidéo en général et mis en place de manière inconsciente et à priori innocente, il s’agit parfois bien d’instrumentalisation pure et dure via des techniques de marketing et de management qui cherchent à camoufler les violences ainsi produites en les repoussant dans l’impensé de ses clients.

---
 
[1] Ainsi, les styles de jeu sont traditionnellement découpés selon leur type de gameplay, indication qui ne donne généralement que peu d’idée sur la nature de leur narration et de leur réalisation. Qu’un jeu soit classé comme Shoot’em Up ne nous dit pas s’il s’agit d’un western en 2D sans narration ou d’un space opera en 3D bourré de cinématiques.
[2] Exemple notoire, un jeu comme Metal Gear Solid 2 propose une cutscene longue de 40 minutes, ce qui peut représenter une véritable contrainte pour le joueur. Les tutoriaux ou les scripts qui empêchent le libre déplacement du joueur tant qu’il n’a pas vu/lu/fait ce qu’il devait voir/lire/faire peuvent eux-aussi aller à l’encontre du désir du joueur : celui de jouer.
[3] Survivre est l’objectif affiché de nombreux jeux (Don’t Starve par exemple), et l’appellation d’un des genres le plus littéralement rivé à cette définition : le survival horror. C’est également le moteur premier des bornes d’arcade, où pour pouvoir continuer à jouer, le joueur doit survivre le plus longtemps possible.
[4] Changements aussi variés que la fin progressive des game over, l’arrivée de la 3D, d’internet, la percée de la scène indépendante ou l’invention de nouveaux genres…
[5] Il suffit de prendre pour exemple la façon dont les États-Unis se sont servis du cinéma pour faire de la diffusion idéologique et esthétique. Même si ce cinéma ne se réduit pas à ça, son influence via sa diffusion massive dans le reste du monde a constitué un véritable outil dans la promotion d’une american way of life et de la puissance impériale américaine dans l’après-guerre.
[6] En Chine, la sortie d’un jeu vidéo militaire (The Glorious Mission) développé avec l’armée met en scène un conflit imaginaire mais plausible autour « des îles Diaoyu (pour la Chine) ou Senkaku (pour le Japon) », sources de conflits politiques au moment de la sortie du jeu. Article du Monde Diplomatique.
[7] On peut parier que l’échec commercial d’un jeu comme Shootmania, fast fps compétitif, est probablement dû en partie au choix du développeur d’avoir rendu son jeu tout public : pas de sang, pas d’armes visibles, des tenues fluos pour les avatars. De nombreux joueurs ont commenté cet aspect, exigeant un rendu et des effets plus violents ou percutants (à la Quake 3). A lire mon article.
[8] Rien à voir par exemple avec des jeux pourtant très violents comme Carmagueddon ou Hotline Miami, qui utilisent le gore ou la 2D pour désamorcer cette violence ou la remettre en perspective par la forme.
[9] Et elle a bien un effet sur le joueur, même si cet effet n’est pas spectaculaire. C’est justement pour cette raison, qu’on pourra facilement l’ignorer. Voir cette conférence à partir de la 30ème minute.
[10] La plupart des joueurs ont pourtant des scrupules réels à réaliser certaines actions dans les jeux qui ne correspondent pas à leurs valeurs (utiliser la bombe nucléaire dans Civilization, tuer des Little Sister dans Bioshock), dont ils se débarrassent en rationnalisant (et avec raison : après tout, ce n’est qu’un jeu). Un jeu comme The Walking Dead n’existerait pas sans cette violence morale et l’empathie qui va avec, puisque son gameplay n’a aucun intérêt en dehors des dilemmes moraux fictifs qu’ils mettent en place.
[11] Nintendo, qui s’intéresse beaucoup à la question morale de son rapport avec le consommateur (pour vendre aux parents sans doute) avait imposé au joueur (sur la Wii) des messages qui l’invitait à prendre des pauses. Qui n’a alors pas pesté contre cette intrusion qui entravait notre droit à une consommation sans limites pour nous prévenir du risque d’excès ?
[12] Voir le message au début d’Assassin’s Creed Black Flag qui précise que l’équipe de développement est de confessions et d’origines diverses, comme si c’était une garantie magique de la neutralité idéologique de l'objet lui-même.
 

Commentaires

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jandar02
 
J'ai quitté mon temps avec The Eternal Castle Remastered extrêmement impressionné par ses réalisations esthétiques, mais plus que déçu par le gameplay. La qualité de ses visuels est indéniable, mais il est parfois préférable de laisser certaines choses, comme des commandes maladroites, dans le passé.


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fennec
 
Dommage, le trailer donne bien envie, le bruit de lecteur de disquette d'Amiga 500 a la fin enfonce le clou...
billou95
 
fennec a écrit :
Dommage, le trailer donne bien envie, le bruit de lecteur de disquette d'Amiga 500 a la fin enfonce le clou...


Mais oui ! C'est ce petit détail qui m'avait donné envie d'y jouer.
dancingmad
 
A propos de RIOT d'ailleurs: le développeur a annoncé que la version finale de son jeu contiendra un scénario gilet jaune pour de vrai.
Buck Rogers
 
billou95 a écrit :
fennec a écrit :
Dommage, le trailer donne bien envie, le bruit de lecteur de disquette d'Amiga 500 a la fin enfonce le clou...


Mais oui ! C'est ce petit détail qui m'avait donné envie d'y jouer.

Moi aussi le trailer m'avait donné bien envie quand tu me l'avais fait découvrir billou. Mais la je suis refroidi. Merci pour le test :-)
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Tribune

Samax
(19h11) Samax Palido > "S.T.A.L.K.E.R. original trilogy next gen update" !!! J'étais pas au courant, ça fait plaisir !
Samax
(19h10) Samax Palido > Wow, ils sont motivés, ça fait plaisir. Ça me donnera une occasion de le refaire quand tout sera implémenté :)
Zaza le Nounours
(18h13) Zaza le Nounours Palido > ça serait une exelante idée de lancer Robocop.
Palido
(16h52) Palido Du coup, bah... je vais à nouveau relaisser le jeu prendre la poussière dans ma bibliothèque Steam et en attendant, je suis à 2 doigts de lancer Robocop à la place.
Palido
(16h50) Palido Puisque j'abordais le sujet il y a quelques jours : voici la roadmap de Stalker 2 [reddit.com]
Sunday 13 April 2025
BeatKitano
(11h43) BeatKitano choo.t > Merci, je voulais dire concord (j'ai encore tapé discord avant de corriger)...
choo.t
(11h39) choo.t BeatKitano > Tu ne confondrais pas Discord et son antonyme, Concord ?
BeatKitano
(11h27) BeatKitano Laurent > ¯\_(ツ)_/¯ (un jeu service lancé en grand pompe par un studio a gros succès sur une ip "nouvelle") ça commence a faire beaucoup.
Laurent
(11h03) Laurent (09h32) Anthem ?
BeatKitano
(09h32) BeatKitano Ah et je sais que c'est un jeu multi mais apparemment Bungie n'a encore aucune histoire et ils ont 6 mois pour l'intégrer au jeu. Ça me rappelle quelque chose.
BeatKitano
(09h29) BeatKitano C'est illisible, incomfortable, ça n'a rien a voir avec l'ancien jeu et c'est encore une merde "hero based". Qui va jouer a ça serieux ?
BeatKitano
(09h28) BeatKitano Marathon c'est Discord 2.0. Ils savent ou ils sont encore dans le déni ?
Saturday 12 April 2025
BeatKitano
(19h37) BeatKitano CBL > "Sans chips t'as pas de pays" — Turd Palm Don
CBL
(18h42) CBL A fond dans les taxes douanières mais pas trop : [news.slashdot.org]
rEkOM
(12h16) rEkOM Pendant ce temps sur YouTube : [m.youtube.com]
Friday 11 April 2025
choo.t
(20h34) choo.t LeGreg > Tout est dans le détail de qui sont "ils".
LeGreg
(20h05) LeGreg choo.t > ils ne se préparent pas à la réunification mais à l'empêcher. Dingue ça.
Thursday 10 April 2025
choo.t
(21h17) choo.t et taiwan qui s'y prépare : [pbs.org]
choo.t
(21h17) choo.t la réunification ? [theguardian.com]
choo.t
(21h16) choo.t LeGreg > Citation sur ? Le fait d'êtres deux entité indépendantes ? [en.wikipedia.org]
LeGreg
(21h06) LeGreg citation needed
choo.t
(20h57) choo.t Ouai mais ROC c'est une entité indépendante de la PRC, je pensais plutôt à la réunification qui se prépare.
LeGreg
(20h00) LeGreg C'est déjà le cas. Tu vois généralement la mention "product of the ROC" (Republic of China)
choo.t
(18h32) choo.t T'façon d'ici quelques années, mêmes les produits fabriqué à Taiwan porteront la mention "made in China", donc ce n'est que prendre un peu d'avance :p
choo.t
(18h31) choo.t CBL > Ah bha oui. C'est juste la boite qui est domicilié à Taiwan, mais les principales usines sont en Chine [en.wikipedia.org]
CBL
(18h26) CBL choo.t > Le dos de la console dit "made in China"
Latium
(18h21) Latium Mais c'est effectivement magnifique et j'aime bien pour le moment.
Latium
(18h20) Latium Je suis en train de le faire et pour le moment c'est un pur couloir sans aucun choix. Je ne m'attendais pas à ça (je n'ais pas fait le un)
Zaza le Nounours
(14h47) Zaza le Nounours Samax > pour TLOU2, faut dire que Sony fait à peine le minimum syndical sur la communication autour des sorties de leurs jeux sur PC.
Samax
(14h13) Samax Palido > Ah et si t'as une bonne config, le mod Ultra+ retravaille complètement les éclairages, les réflexions et encore plein d'autres trucs et rend le jeu absolument magnifique
Samax
(14h12) Samax Le vertueux > Ça doit être ça, j'en doute pas :D
Samax
(14h10) Samax souffle épique sur la fin, c'est appréciable. Et les choix que tu fais semblent avoir un vrai impact sur le monde. J'ai aussi été surpris du peu de bugs que j'ai rencontré globalement.
Samax
(14h09) Samax Palido > Enjoy! Je l'ai fini ya 3 jours et j'ai adoré. J'ai été surpris par la qualité de la mise en scène de l'histoire, et notamment de la fin. Après un développement aussi chaotique je m'attendais à une fin rushée mais pas du tout. Ya vraiment un
Le vertueux
(14h04) Le vertueux Samax > Les gens attendent surtout gran turismo et EA sports UFC 5 sur pc.
Samax
(14h03) Samax Pourtant ça avait fait pas mal de bruit à sa sortie sur PS4. Et les versions PC des exclus PS5 sont en général pas mal reçues d'habitude j'ai l'impression.
Samax
(14h01) Samax J'ai appris un peu par hasard que la version PC de Last of Us 2 est sortie la semaine dernière... C'est moi ou tout le monde s'en branle?
Le vertueux
(12h44) Le vertueux Palido > Tenir un commerce de kebabier à la viande de mutant dans la zone de stalker c'est ce que les joueurs veulent pouvoir faire, mais je ne crois pas que ça soit prévu dans la roadmap.
Palido
(12h27) Palido Mais je crois que j'ai de toutes façons trop envie d'y jouer pour attendre plus longtemps.
Palido
(12h27) Palido Le vertueux > C'est -un peu- dommage, mais au moins, ça me permettra de profiter du jeu pour ce qu'il est. Idéalement, j'aimerais bien GSC balance enfin la roadmap promise pour savoir à quel moment m'investir réellement dans le jeu.
Le vertueux
(12h14) Le vertueux C'est déjà bien qu'on ait ça, j'en espérais pas tant. Mais c'est vrai qu'on aurait aimé du gameplay emmergent, des easters eggs, du loot unique, et un aspect "métier" de chercheur d'artefacts.
Le vertueux
(12h13) Le vertueux Palido > Non, on en est au même point que le jeu de l'époque, un jeu linéaire mais dans un monde ouvert.
Palido
(11h43) Palido J'ai finalement l'impression d'avoir perdu mon temps. Est-ce qu'il vaut mieux jouer au jeu en suivant le marqueur de la quête principale ?
Palido
(11h43) Palido Genre des trucs uniques à découvrir (lieux, équipement, events) ? Y a un intérêt à revisiter des endroits ? Je viens de revisiter un lieu qui m'a fait consommer plus de ressources que ce que j'ai pu en gagner.
Palido
(11h42) Palido Ceci dit, j'essaie de ne pas rusher le jeu en espérant profiter de MAJ plus conséquentes. Pour gagner du temps, je me fais surtout des expéditions pour looter. Mais du coup : au delà de la visite champêtre radioactive, il y a un vrai intérêt à explorer ?
Palido
(11h42) Palido J'ai enfin pu (re)plonger dans Stalker 2. Grâce aux dernières MAJ, le jeu se lance, ne crashe plus, tourne mieux. Il reste quand même de sacrés bugs et je ne peux m'empêcher de penser qu'il manque un tas de trucs au jeu. Malgré tout, je suis à fond.
BeatKitano
(10h03) BeatKitano choo.t > pas sur que ça passe pas par mainland…
choo.t
(09h57) choo.t (04h22) C'est pas Taiwan pour le SteamDeck ? (Quanta Computer)
CBL
(04h22) CBL Le Steam Deck va aussi prendre cher
CBL
(04h21) CBL Ouais ça craint pour eux
BeatKitano
(03h09) BeatKitano CBL > Framework...
Wednesday 09 April 2025
Doc_Nimbus
(23h36) Doc_Nimbus Et pouf, juste à ce moment Trump repasse les droits de douane à 10% (sauf pour la chine, faut pas déconner). Quel troll ce Trump.
CBL
(20h24) CBL Ou quoi que ce soit fait par Razer
CBL
(20h23) CBL (18h30) D'un autre côté, faut avoir de l'argent à perdre pour acheter un PC portable Razer
BeatKitano
(18h30) BeatKitano Bon pas pour relancer la machine a troll mais l'article sur les ordi portables tombe plutot mal [techspot.com] ;)
Tuesday 08 April 2025
CBL
(18h16) CBL On a même quelques benchmarks!
CBL
(18h16) CBL Ils ne l'ont jamais vendue mais ils ont produit quelques exemplaires
Laurent
(17h24) Laurent (16h53) qui n'a jamais existé qu'en photo
CBL
(16h53) CBL La fameuse Voodoo 5 6000
CBL
(16h52) CBL YoGi > oui !!! [images.hothardware.com]
BeatKitano
(16h32) BeatKitano Bots: [factornews.com]
toof
(11h38) toof Désolé, j’ai eu un petit agacement. C’est passé, pardon :)
toof
(11h27) toof on peut ignorer des gens, ok, mais on peut pas les empêcher de nous répondre, c’est dommage
toof
(11h27) toof Purée ça me démange mais j’ai bien saisi l’avertissement de CBL, mais le frostis, la, c’est son kif d’avoir le dernier mot et reformulant les trucs pour montrer qu’il a raison ?
YoGi
(08h01) YoGi Question bête, ca prend des bières de tps en tps les pandas d'ile de France ? Un peu comme les nocon, y'a un peu plus de 20 ans.
YoGi
(07h51) YoGi CBL > sauf erreur la voodoo 5 avait une alim externe
Monday 07 April 2025
Laurent
(21h56) Laurent (20h28) Je savais pas que Bungie développait Splatoon HD
BeatKitano
(21h06) BeatKitano Un truc avec un seul câble pour l’alimentation tout le reste caché par le câble management de la tour. Le truc ultra clean quoi.
BeatKitano
(21h04) BeatKitano D’ailleurs je pige vraiment pas pourquoi y’a pas un seul fabricant de case « boutique » qui a tenté de vendre des design avec câble management intégré pour l’io shield. Ca parait tellement évident que ça plairait aux enthousiastes
BeatKitano
(21h00) BeatKitano Et si les constructeurs de case sont malins y’a même moyen de rendre le truc élégant avec un plug 90 degrés à l’arrière et un seul câble lié à la tour.
BeatKitano
(20h34) BeatKitano CBL > C'est possible. Je veux dire vous foutez une brique entre la prise et le gpu pour éviter un gpu qui pèse 10 kg et fait trembler de peur la CM et puis ben voilà... pas besoin d'acheter une alim 3000W et avec une prise IEC320C13 c'est interchangeabl
CBL
(20h28) CBL (19h54) BeatKitano > y'avait pas un constructeur qui avait tenté le coup ?
BeatKitano
(20h28) BeatKitano Marathon: [youtube.com] Je trouve ça laid a crever.
Latium
(20h06) Latium Merci ça à marché, je peux de nouveau jouer sur ma TV.
BeatKitano
(19h55) BeatKitano C'est d'une tristesse de voir ce gachis d'énergie.
BeatKitano
(19h54) BeatKitano Ouais ou sinon on arrête le délire et on mets un cable d'alimentation direct au cul des gpu et on en parle plus hein..
Laurent
(19h29) Laurent (19h18) plus qu'à attendre les 6090... en espérant qu'ils forcent pas les constructeurs de PSU à changer de format de connecteurs aussi
BeatKitano
(19h20) BeatKitano rigole en pauvre.
CBL
(19h18) CBL Qui aurait pensé que passer 600W par des cables fins comme des allumettes pourait causer des problèmes?
CBL
(19h17) CBL [techspot.com]
Zaza le Nounours
(19h11) Zaza le Nounours Latium > j'ai DDU les derniers drivers et remis ceux de décembre sans avoir à passer en mode sans échec. A la limite tu télécharges le fichier d'install des pilotes et ensuite tu coupes le réseau le temps de faire la manip si tu veux être tranquille.
BeatKitano
(16h29) BeatKitano C'est de l’appât a Ian Malcom ces trucs.
BeatKitano
(16h27) BeatKitano LE TURFU: QUAKE IA mais moche et lent. Tout un programme [copilot.microsoft.com]
Samax
(16h11) Samax (15h35) J'ai plusieurs fois rollback mon pilote Nvidia via DDU sans passer en safe mode, j'ai eu aucun souci
Latium
(15h35) Latium Bonne vidéo je ne connaissais pas cette chaîne. C'est bien d'en parler.
Latium
(15h35) Latium Et le pire c'est que je n'arrive plus à passer en safe mode sur mon Windows 11 24H2, Du coup je peux pas DDU pour downgrader mon driver.
Latium
(15h33) Latium BeatKitano > Donc je ne suis pas le seul, j'ai effectivement ces problèmes de ports, de multi screen et de Gsync. Ca va vraiment mal Nvidia.
Samax
(15h09) Samax J'ai dû mal à comprendre ce qui peut motiver les gens à rester sur Windows 10 (hors contraintes matérielles évidemment)
Zaza le Nounours
(14h09) Zaza le Nounours ptitbgaz > c'est une grosse mise à jour de W10.
BeatKitano
(13h51) BeatKitano Du coup on troll comment sur nvidia maintenant que c'est la boite qui fait des drivers de merde ? [youtube.com]
ptitbgaz
(12h23) ptitbgaz Sinon question subsidiaire : windows me tanne pour passer à W11 et ça pourrait peut être m'aider à installer mon Pico 4. Y a pas de contre indication particulière ? ça garde les programmes ou faut tout réinstaller ?
ptitbgaz
(12h21) ptitbgaz SWO c'est un skin star wars de Asssassins creed ou plutôt de Uncharted ? Genre pas un open world dupliqué où on fait plein de choses sans intérêt ?
Mascouell
(08h25) Mascouell Big Apple > merci pour l'info. Quelqu'un les a essayés ? J'ai beaucoup aimé SWO, mais si c'est juste du more of the same, ça risque de faire léger.
Sunday 06 April 2025
Big Apple
(22h15) Big Apple Ya des promos sur les dlc pour SWO jusqu'à demain sur ubi
thedan
(19h32) thedan Zaza le Nounours > vi c 'est vraiment cool. Moi je kiffe
Zaza le Nounours
(17h40) Zaza le Nounours J'ai généralement rien contre les jeux narratifs, mais là c'était vriment laborieux à tout point de vue. Après je sais bien que je suis largement dans la minorité sur ce coup.
choo.t
(17h17) choo.t Zaza le Nounours > Arf dommage. Ouai côté gameplay y'a rien, côté propos/narration j'ai vraiment accroché, mais évidement c'est hautement subjectif.
Zaza le Nounours
(15h45) Zaza le Nounours Mendoza > mais oui ! Et puis maintenant qu'il est plus cassé de partout, ça doit être d'autant plus plaisant.
Zaza le Nounours
(15h44) Zaza le Nounours choo.t > ça m'a totalement déçu, j'ai vraiment pas été sensible du tout à quoi que ce soit qu'il avait à proposer et raconter.
choo.t
(15h21) choo.t En parlant de reco jeu, faites-vous 1000XRESIST, ça vaut le détour.
Mendoza
(15h10) Mendoza Star Wars Outlwas c'est bien cool à jouer. Belle ambiance, univers "original" sans jedis. Merci @Zaza Le Nounours de m'avoir incité à le tenter
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