La justice s'intéresse aux jeux vidéo

Mercredi, les ministres de la justice européens se sont réunis pour discuter de notre passe-temps favoris : le meurtre gratuit, la torture, le viol, et le massacre de bébés phoques virtuels. S'ils ne se sont pas parvenu à un accord, ils en sont quand même ressortie avec un consensus : en faire plus sur le contrôle de la vente de jeux vidéo violents aux mineurs en instaurant des sanctions contre les revendeurs.

On devrait pour l'instant encore éviter les situations absurdes allemandes et australiennes où ces jeux sont tout simplement censurés ou bannis. Au cas où, planquez vos Manhunt, Condemned ou autre , la prohibition et les autodafés ne sont peut-être pas très loin.